Thème : la plus belle couverture

 

Cette semaine, c’est:

La plus belle couverture

 

 

 

 

Je suis en général, très sensible aux illustrations. Je dois dire qu’un livre avec une couverture qui ne me plaît pas ressemble aux manga dont le dessin me rebute (et , donc, que je ne lis pas). Etant ado, je me rappelle m’être laissée tenter par des lectures encore inconnues, juste parce que j’étais attirée par le dessin, au risque d’être déçue.

J’ai adoré ce que faisaient les éditions  Points :

Celle-ci est l’éditions des années 80

 

Ou Presses Pocket en SF/fantasy:

 

Je n’oublie pas les magnifiques couvertures de la maison d’édition nantaise – ma voisine:L’Atalante

 

Je pense aussi aux éditions Gulf stream  (excellents  livres pour la jeunesse):

 

Récemment, voilà ce que j’ai retenu:

 

Confessions d

Toute cette collection est une merveille (Bragelonne – Le Mois du cuivre)

 

Je suis aussi assez fan des couvertures chez 10/18:

Puis, une sélection absolument pas exhaustive:

 

 

 

Et vous, quelles sont vos couvertures favorites?

 

Bonnes lectures!

Un pavé ?  Nos premiers jours – Jane Smiley

Un pavé de plus de 500 pages

 

 

La notion de « pavé » rebute pas mal de lecteurs potentiels. J’ai pu le constater en librairie autrefois (« Quoi? Toutes ces pages…. »), plus récemment avec mon ado (« ça va, y a pas trop de pages…. » – remarque qui me fait à la fois sourire et grogner).

De mon côté, le nombre de pages n’est pas un réel problème. Je lis facilement des séries de plusieurs tomes (ah, la fantasy! ah, la SF!…); ce ne sont pas quelques misérables 500 pages qui me font peur… Pour autant, il y a un détail qui peut me dégoûter d’un pavé: si la police de caractères est minuscule. Je pense à nos amis anglo-saxons qui n’ont aucune pitié pour nos yeux.  Je viens de rencontrer le problème avec ma relecture d’Outlander: migraine ophtalmique, merci…

 

Mon choix va se porter sur une lecture récente: Nos premiers jours de  Jane Smiley. (592 pages dit le site de l’éditeur, Rivages).

 

Résumé « Walter Langdon rêve d’avoir sa ferme et d’obtenir son indépendance, loin du regard paternel. Avec sa femme Rosanna, il décide d’acheter une exploitation agricole dans l’Iowa. Sur cette terre, sa famille connaît les grands bouleversements historiques de la première moitié du XXe siècle, de 1920, à l’aube de la dépression, jusqu’en 1953.

Jane Smiley est une autrice que je connaissais déjà (« Un appartement à New York » – rivages aussi -). C’est donc avec plaisir que j’ai retrouvé la romancière pour cette saga familiale à la Ken Follett. Jane Smiley connaît bien l’Iowa, où elle a étudié puis enseigné la littérature. Elle  avouait récemment, lors d’une table ronde au Festival America, être « obsédée » par ses personnages, « pas parce que je les aime ou pas, mais parce qu’ils sont complexes ». À sa manière, cette trilogie est bien une histoire du peuple américain. On pense à  Faulkner, Steinbeck et Dos Passos , par exemple.

Nous sommes en 1920 au début de ce tome qui sera le 1er d’une trilogie nommé « Un siècle américain ». Nous refermons le livre en 1953: la grande dépression, la 2nde guerre mondiale,l ‘après guerre, la chasse aux sorcières (Hoover et les communistes).
Roman de filiation, d’apprentissage, « Nos premiers jours » sait s’attacher aux personnages et nous captiver. Comment, plus de 500 pages et c’est passé si vite?

Je dois dire que j’attends la suite, à présent….

 

Bonnes lectures, à bientôt!

Ramin l’enchanteur

Si vous suivez – ou pas – , si vous avez eu l’occasion de pencher une, voire deux, oreilles sur les musiques des séries « Game Of Thrones » (GoT) et Westworld, vous en êtes au même point que moi: Ramin Djawadi est un enchanteur!

Rien que le générique de GoT est une splendeur. Dois-je parler de Light of the Seven – finale de la saison 6 ?

Ramin – qui êtes-vous? 

Papa iranien, maman allemande, Ramin Djawadi est né en Allemagne en juillet 1974. Il a fait des études de musique au Berklee College of Music,dont il sort diplômé en 1998. (quand on regarde d’un peu plus près la liste des ex-élèves célèbres de cette école, excusez du peu !)

Une interview où Ramin en parle :

Il a ensuite attiré l’attention de Hans Zimmer (je le disais !) . Il a travaillé aux studios  Remote Control Productions, spécialisés dans mes musiques de films et créés par Hans Zimmer.

C’est une véritable fourmilière de talents – avec un magnifique décor, de surcroît!

Parmi les bandes sons sorties de RCP, on a : Pirates of the Caribbean   Shrek (tous), Iron Man, Gladiator, Kung Fu Panda, Mission: Impossible II, The Last Samurai, Batman Begins, Transformers, Hancock, Kingdom of Heaven, The Dark Knight, Madagascar, The Da Vinci Code, Inception, Sherlock Holmes les 2.  De même, les compositeurs de  Remote Control Productions ont travaillé sur les musiques de jeux vidéos comme :   The Sims 3, Gears of War 2, Call of Duty: Modern Warfare, Call of Duty: Modern Warfare 2, Crysis 2, Assassin’s Creed: Revelations, and Assassin’s Creed III…ouf!

Parmi les compositeurs qui  s’y trouvent, hormis Ramin Djawadi, on a  (on s’accroche à nouveau – y a du beau monde!): Henry Jackman (“Captain America: The Winter Soldier”), Heitor Pereira (“The Smurfs” Les Schtroumpfs), James Dooley (“Pushing Daisies”), James Levine (“Glee”), Geoff Zanelli (“The Pacific”), Atli Orvarsson (“Chicago Fire”), David Buckley (“The Good Wife”), Rupert Gregson-Williams (“Winter’s Tale”), Lorne Balfe (“Assassin’s Creed III”), Benjamin Wallfisch (“Summer in February”), Dominic Lewis (“Free Birds”), Matthew Margeson (“Kick-Ass 2”), Junkie XL (“Divergent”)and Michael Einziger of Incubus.

La carrière

Pour Ramin Djawdi, son mentor sera Klaus Badelt   , dont il a été l’assistant.
La 1ère bande-annonce composée seul est celle de Blade : Trinity. (2004)
Puis Ramin compose le thème célèbre de Prison Break. Le style de Djawadi est déjà très reconnaissable:

 

Dans les thèmes nés avant GoT, on note celui de The Strain, la série écrite (et tirée desromans de) Guillermo Del Toro :

En 2011, Ramin Djawadi est choisi pour composer la musique de Got -avec le succès que l’on sait. En 2016, il crée l’univers musical de Westworld, l’autre série de HBO .

Cette interview de Ramin Djawadi est un bon résumé (et il s’exprime sur sa façon de composer):

Les thèmes les plus connus actuellement

Game of thrones – générique ici version live( -début)

Westworld – générique

Les plus beaux thèmes dans GoT
(liste non-exhaustive):

 

King of the North – saison 1

Pay The Iron Price –  S 2

Valar Morghulis-s.3

Mhysa-saison 3

The Rains of Castamere – s.4 (avec les paroles de la chanson)

Let’s kill some crows – s.4

Dance of Dragons -saison 5

Blood of my blood – s.6

Light of the Seven  -saison 6

Winter has come –The winds of winter – saison 6:

En concert!

Ramin Djawadi et son orchestre sont en ce moment en tournée aux USA pour le  Game of Thrones live experience. 

Voilà ce que ça donne :

 

 

Bonne écoute!

Thème: Girl power

 

 

 Pour ce thème, j’avais l’embarras du choix. Un très grand embarras qui m’ayant tellement embarrassée qu’à la fin, je ne savais plus comment m’en débarrasser.

Alors, j’ai failli vous parler de l’une des héroïnes de fantasy française très « girl power » – j’ai nommé Ellana – chez Pierre Bottero (et là, j’ai le sourire de ma Sorcière Isa )

Mais…, j’ai fini par fixer mon choix après de nombreuses et longues délibérations. sur un autre personnage.
Celle qui est restée dans mon esprit (fatigué) se nomme Precious Ramotswe.

 

« Divorcée d’un mari trompettiste porté sur la bouteille, Precious Ramotswe a choisi de refaire sa vie avec un gentleman garagiste nommé J.L.B. Maketoni. Mais ce batifolage ne comble pas le désir d’aventure de cette bouillonnante Lady. Un beau jour, l’inénarrable « Mma » se jette à l’eau et ouvre à Gaborone, capitale du Botswana, un bureau d’un nouveau genre : la première agence de détectives strictement au féminin. En compagnie de son assistante, Mma Makutsi, Precious Ramotswe déclare la guerre aux belles filles têtues, aux maris en fuite et aux escrocs sans vergogne. » (10/18)

 

Mma Ramotswe est le contraire de la femme « à qui tout réussit et qui a tout pour plaire », selon certains critères très en vogue à notre époque. Mma Ramotswe est une Africaine solidement charpentée (elle préfère parler de « constitution traditionnelle »).

Elle est divorcée d’un mari violent, n’a pas d’enfants, pas de fiancé ni de nouveau mari. Et elle se lance dans un travail auquel personne ne croit: elle a ouvert sa propre agence de détectives! Mais attention ! Des Dames Détectives – et ceci, au Botswana.

Mma Ramotswe est le personnage principal de la série d’Alexander McCall Smith : les enquêtes de Mma Ramotswe. L’auteur est  né et a été élevé au Botswana, il aime autant l’Afrique que son Ecosse.

Elle se sort de toutes les  situations avec un sens aigü de l’observation, une connaissance du coeur des êtres humains, entourée par ses amis/alliés: son assistante  Mma Makutsi et  Monsieur Matekoni, garagiste.

«  Madame Ramotswe ne voulait pas que l’Afrique change. Elle ne voulait pas voir son peuple devenir comme les autres, sans âme, égoïste, oublieux de ce que signifiait être africain, ou pis encore honteux de l’Afrique. Elle-même ne serait rien d’autre qu’Africaine, jamais, même si un jour quelqu’un venait la voir en disant : « Tiens, voici une pilule, une invention révolutionnaire. Avale-la et tu deviendras américaine. Elle refuserait. Jamais Non, merci. »

Les enquêtes de la patronne de l’Agence n°1 des Dames Détectives ne sont pas des énigmes compliquées; elles sont « vivifiantes et divertissantes » (comme l’écrit le chroniqueur du Guardian). Elles mettent à l’honneur une femme; pas une super-héroïne, parfois en butte aux doutes, à la tristesse mais sachant toujours se débrouiller.

Mieux que du « girl power », c’est le « woman power » qui s’exprime pleinement ici.

« Tout le monde l’appelait Mma Ramotswe, mais s’ils avaient voulu respecter les convenances, les gens se seraient adressés à elle en disant Mme Mma Ramotswe. Telle est la formulation adéquate pour une personne respectable, mais même elle ne l’avait jamais employée. Ainsi était-elle toujours Mma Ramotswe, et non pas Precious Ramotswe, un prénom que très peu de gens utilisaient. »

A noterMMA RAMOTSWE détective a fait l’objet d’une adaptation télévisée, réalisée par Anthony Minghella, célèbre réalisateur du « Patient Anglais ». La chaîne Arte en a assuré la diffusion du 4 au 25 août 2011.

C’est par ce biais que j’ai découvert la série de livres, d’ailleurs.

 

Bonnes lectures!

 

 

Thème : Musique

Thème :  Musique (un héros musicien ou un livre qui parle de musique)

Fanfare 2

Fanfare de rue - Nantes - mes photos 

Quand j’ai vu le thème de cette semaine, je dois dire que j’étais (très) enthousiaste.
Musique + lecture : voilà qui fait un parfait alliage, à mon sens.

Ma sélection 

Dans la catégorie « rock-critic » – les heureux élus sont :

– Awopbopaloobop, Alopbamboom – Nik Cohn (10/18)

« Le bien nommé Awopbopaloobop, Alopbamboom (Tutti, Frutti !) est un texte historique, parce qu’il a ouvert un nouveau champ journalistique et fondé un genre littéraire, celui de la Rock-Critic. C’est-à-dire une manière d’écrire qui assume et revendique son entière subjectivité, sa partialité, ses emportements, son lyrisme… Sans se soucier des risques de plantage. La musique Pop, c’est l’objet – et le mantra – de Nik Cohn. Golden Boy de la critique musicale dans les swinging London des années 60, Nick Cohn, à la manière de ses héros, décide de se retirer des affaires (il a 24 ans!) et de sortir du feu un mausolée dédié à la Pop, son histoire, ses dieux, ses tricheurs, ses seconds couteaux, ses pirates, sa folie, et sa mort. »

 

Les textes de Nik Cohn sont pointus (le sieur est un connaisseur) et terriblement bien ficelés. A lire aussi :

Anarchie au Royaume Uni (qui revient sur les années punk)

-Psychotic reactions et autres carburateurs flingués  – Lester Bang(1971)

Lester Bangs est une légende parmi les rock-critics et chacun de ses ouvrages est un délice…

Et mon coup de coeur est :

The Dark Stuff : L’envers du rock – Nick Kent (2006)

« Un beau jour, je me suis frotté à des zozos du genre Syd Barrett, et j’ai réalisé que si ces gens-là avaient bien obtenu ce qu’ils désiraient, ce n’était surtout pas de cela (l’adulation des foules, le  » décollage  » créatif) dont ils avaient besoin pour préserver leur équilibre mental. Dès lors tout a pris un sens. Et j’ai vite réalisé qu’entre toutes, ces histoires-là valaient d’être contées. Fouiller les recoins obscurs et crépusculaires des icônes du rock, voilà l’objectif de « The Dark Stuff. » Nick Kent y dépeint des artistes d’une intensité foudroyante, souvent pris au cœur des ténèbres. Mais surtout, Nick Kent écrit mieux que quiconque sur le rock. Même quand elle rend compte de débauches inouïes, son écriture reste empreinte d’élégance, de passion et de grâce. Avec sa plume pour tout instrument, il fait du rock. »

Celui-ci, je regrette encore de ne pas l’avoir dans ma bibliothèque (je n’ai jamais pu le trouver).  Découvrir  des « idoles » de cette façon, j’en redemande. alors, bien sûr, il faut aimer le rock mais ai-je dit le contraire ? (Rock is life)

 

Dans la catégorie Bibliographies, textes  et autres :

J’ai fait un choix. Je parlerais de Mr.Jim Morrison.

– Signés par Jim Morrison (10/18):

Une prière américaine ;
« Un recueil composé des textes de toutes les chansons des Doors, y compris certaines dans leur version live, accompagnés de courts poèmes ».
>Arden lointain ;
>Wilderness
« Wilderness est un recueil tiré de ces carnets et publié à titre posthume. Que ce soit de part la forme ou le fond, les poèmes de J. Morrison sont avant tout éclectiques.  »
>Seigneurs et nouvelles créatures

Il est difficile de lire les poèmes de Morrison sans écouter au moins un album des Doors (tous les albums des Doors!). Ceci dit, le chanteur était un poète de grande envergure – Ci-dessous dans La Nuit américaine :

« Hope is just a world
When we think in
Table cloths
Laughter Will not End
Her funny feeling
Or assuage our
strange désire
childten will be born.

L’espoir n’est qu’un mot quand on pense en
Termes de nappes
Le rire ne peut détruire
Sa drôle sensation
Ni satisfaire notre
Étrange désir
Des enfants naîtront. »

 

Enfin parce que ça se lit comme une fiction:
-Personne ne sortira d’ici vivant – Jerry Hopkins Daniel Sugerman (10/18)

Il s’agit de la biographie de Jim Morrison – qui a largement inspiré ce film d’Oliver Stone « The Doors « (avec un jeune et beau Val Kilmer) en 1991.

« Onze ans après sa première édition française aux éditions Bourgois, ressort la biographie de Jim Morrison, poète américain d’origine écossaise, également chanteur des Doors. Ce n’est donc pas une révélation, mais c’est, bizarrement, un réconfort. Parce que Morrison sut être mal élevé, choquant, infréquentable. Parce qu’il sut aussi inventer un chant fiévreux, hautain, qui racontait de la belle jeunesse américaine, de la prospérité, de l’existence calibrée. Position romantique banale, révolte d’adolescent connu, mais il faut du courage pour la tenir, il faut du talent pour la faire partager. C’est probablement là d’ailleurs ce qui, dans la vie de Morrison, est le plus stimulant ; ce goût persévérant pour l’insoumission, et la façon dont la société dont il était issu ne peut le supporter »

Dans la catégorie Romans et musique :

Mon choix ici est de rester – plus ou moins – dans les années 70

 

-Acid test – Tom Wolfe (Points)

« Cette chronique, qui évoque l’univers des Freak Brothers, retrace la pérégrination à travers les Etats Unis du premier groupe psychédélique américain, les Pranksters. A bord d’un vieux bus peinturluré embarquent Ken Kesey (l’auteur de vol au-dessus d’un nid de coucou) Neal Cassady (héros du On the Road de Kerouac) et quelques autres peintres, écrivains, drogués, vagabonds, marginaux divers. Le groupe recevra la visite de Beatles, participera aux  » Trip Festivals  » et à la première convention nationale de l’Underground, sans cesser d’avoir le FBI aux trousses. Les années 1970 commencent »

Ce roman est vraiment un pavé ébouriffant – et je ne sais pas si vous en sortirez vivants !Je l’ai lu à la suite de « Sur la Route » de Kerouac (il faut lire Kerouac, vraiment). J’avais 15 ans. 30 et quelques petites années plus tard, je l’ai toujours en mémoire. C’est dire.

 

1970’s mais côté punk (yes) :

Je hais l’amour véritable – G.Hamel L.Schaack – Nathan

« Londres, octobre 1976. Dans l’ambiance électrique du concert d’un groupe qui monte, The Clash, Peter et Marie se rencontrent au milieu des cris et des jets de canettes. Peter, paumé en mal d’avenir et Marie, jeune Française exilée comme fille au pair, vont partager une passion pour la musique punk. Ensemble, ils traînent dans l’entourage de ces groupes qui sèment le scandale partout où ils passent. Mais l’énergie qui a réuni les deux amoureux se charge bientôt d’une violence qui pourrait les séparer…

 

Je me suis régalée avec ce roman jeunesse. Car si, pour ma part, je n’ai pas grand-chose à apprendre question culture punk (‘suis tombée de dans étant ado), j’ai trouvé que tout était très bien documenté et permettait aisément une immersion ( un Retourneur de Temps intégré) . Donc, bravo, et mieux: à lire.

 

Pour finir, dans la catégorie BD :

Je ne peux pas clore cette thématique sans citer mes auteurs de BD favoris :

Serge Clerc – jamais le rock et la BD n’ont été si proches – dès les années 80 …

Yves Chaland

 

Franck Margerin (tout Margerin)

Dodo et BenRadis

 

 

Jano – et Kebra

 

Je termine  en réalisant que j’aurais tant d’autres livres à présenter, tant au sujet du jazz, du blues, du classique, ….

Bonnes lectures !