
PLus de livres!
Ah, les histoires d’amitié…C’est une longue liste de romans que l’on pourrait citer !
Parmi les lectures d’enfance, immédiatement, j’ai pensé à celui-ci (aujourd’hui réédité en e-book) publié à l’origine à la Bibliothèque de l’amitié – et oui, ça ne s’invente pas !
« O bohémienne mon amie« est un joli roman jeunesse signé par Jacqueline Verly.
Il y est question de l’amitié entre deux fillettes dont l’une est une tzigane; thème éternel…vu les préjugés qui persistent envers les gens du voyage encore aujourd’hui…
Un autre roman jeunesse sur un autre thème: Mon ami Frédéric de Hans Peter Richter.
Ce livre est un trésor – et un classique de la littérature jeunesse.
En Allemagne, avant la guerre, deux enfants sont inséparables. L’un d’eux s’appelle Frédéric. Il est Juif. Lorsque Hitler prend le pouvoir en 1933, la situation de la famille de Frédéric devient de plus en plus difficile. Jusqu’à ce que le dictateur décide que les Juifs n’ont pas le droit de vivre : on les insulte, on les chasse, et bientôt, Frédéric est renvoyé de l’école.
Dans la même veine et du même auteur :
Autre amitié, autre roman à lire (et adaptation au cinéma à voir) :
Paris. Rue bleue. Dans les années 60. Moïse, onze ans, mal aimé, supporte comme il le peut de vivre avec seul avec son père. Monsieur Ibrahim, le vieux sage, tient l’épicerie arabe et contemple le monde de son tabouret. Un jour, le regard de monsieur Ibrahim rencontre ce lui de Momo et, de conversation en conversation, la vie devient plus souriante, les choses ordinaires extraordinaire…
Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran est le récit rétrospectif d’une adolescence: celle de Moïse, deux fois abandonné, qui trouve en la personne d’un épicier soufi un initiateur à la sagesse et un guide sur le chemin de la vie. Ce texte, qui a fait l’objet d’une très belle adaptation cinématographique de François Dupeyron, est le lieu d’une réflexion sur l’amitié, la force de vivre, la tolérance.
Deux très beaux romans parlant d’amitié féminine, abordée de façon différente :
Chez les Blancs de Jackson, Mississippi, ce sont les Noires qui font le ménage, la cuisine, et qui s’occupent des enfants. On est en 1962, les lois raciales font autorité. En quarante ans de service, Aibileen a appris à tenir sa langue. L’insolente Minny, sa meilleure amie, vient tout juste de se faire renvoyer. Si les choses s’enveniment, elle devra chercher du travail dans une autre ville. Peut-être même s’exiler dans un autre Etat, comme Constantine, qu’on n’a plus revue ici depuis que, pour des raisons inavouables, les Phelan l’ont congédiée.
Mais Skeeter, la fille des Phelan, n’est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s’acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui ‘la élevée avec amour pendant vingt-deux ans, est partie sans même lui laisser un mot
Le film est aussi une très grande réussite. Je conseille de lire le roman en anglais, si possible (The help – titre original).
Et, forcément, l’un de mes chouchous:
Au sud de l’Amérique profonde, en Alabama, un café au bord d’une voie ferrée … Ninny, fringante octogénaire, se souvient et raconte à Evelyn, une femme au foyer à l’existence monotone, les incroyables histoires de la petite ville de Whistle Stop. Grâce à l’adorable vieille dame, Evelyn, qui vit très mal l’approche de la cinquantaine, va peu à peu s’affirmer et reprendre goût à la vie.
Et pour finir en images: