Music is might est une série d’articles faisant des liens entre des chansons )ou des vidéos qui, a priori, n’ont rien à voir entre elles; parlant de liens émotionnels, d’ univers musicaux découverts ou à découvrir. Quand la musique fait sens…
Le titre est une référence à JK Rowling qui dans Harry Potter utilise le slogan « Magic is might ». En français, l’allitération en « m » est malheureusement perdue (la traduction est « la magie est puissance », chap. 12 des « Reliques de la mort »
Changement d’ambiance cette semaine – avec deux morceaux qui, même s’ils se ressemblent un peu, sont moins des « inspirations » directes que deux titres issus de la même période (les 80’s pour les citer!).
Le premier est une chanson-phare de la Madonna des débuts – et je vous laisse admirer cette chorégraphie….digne des cours d’aérobic de l’époque ( oui, un peu). Je dois dire que j’ai quand même bien rigolé en revoyant la vidéo. Ah, sacrée Madonna… (1983):
Le deuxième a débarqué quelques années plus tard. C’est une pure production SAW – Stock Aitken Waterman. Pour ceux qui étaient trop jeunes dans les années 80, SAW, c’était à la fois le son dont on avait marre durant la seconde moitié des 80’s ( réflexion typique: « encore un SAW! au TOP 50!« ) mais surtout une formidable usine à tubes:
Stock Aitken Waterman:, parfois connu sous le nom de SAW, est un trio britannique d’auteurs-compositeurs et producteurs composé de Mike Stock, Matt Aitken et Pete Waterman. Ils connurent un succès important durant la deuxième moitié des années 1980 et au début des 1990 et constituent l’un des partenariats les plus productifs et lucratifs dans l’histoire de l’industrie musicale. Le trio a réussi à hisser plus de cent titres dans le Top 40 britannique et à vendre 40 millions de disques, (la liste des artistes ayant collaboré est impressionnante – sur la Wiki)
Les deux chansons sont idéales pour les mash-up:
Et si vous aimez les reprises, en voilà deux vraiment bien faites.
La première est signée Leo Moracchioli qui fait de fantastiques covers façon metal:
L’autre est celle de Postmodern Jukebox, excellents comme toujours (ils sont aussi fabuleux sur scène, je peux en témoigner):