Premières lignes #30septembre

Dernier jour de septembre et des Premières lignes consacrées à la Sf.

 

« Loin vers la frange de la Galaxie se trouve l’Amas d’Alastor, un volume spatial de forme irrégulière de vingt à trente années-lumière de diamètre, où tourbillonnent trente mille étoiles en activité. La zone qui l’entoure est sombre et vacante, hormis quelques étoiles solitaires. Vu de l’extérieur, ALastor offre un tableau flamboyant de flots d’étoiles, de trames lumineuses, de noeuds de tension étincelants. « 

Les Mondes d’Alastor est un volume qui regroupe les trois romans de Jack Vance situés dans le fameux Amas d’Alastor: Trullion : Alastor 2262 , Marune : Alastor 933 et Wyst : Alastor 1716.

C’est une relecture, pour moi (voire une re-re-lecture) mais avec Jack Vance, c’est toujours un plaisir (La Geste des Princes-Démons; Le Cycle de Tschaï; Lyonesse, etc….).
Chaque roman peut se lire de façon indépendante, le lien étant fait avec le lieu (Alastor) et son étrange  Connatic, le dirigeant de l’Almas qui voyage incognito.

Trullion vaut pour le jeu de hussade, un sport assez …spécial.

Marune est le lieu de sombres complots dans une société très codifiée (Vance est un maître pour rendre à l’écrit des usages compliqués)

Quant à Wyst, on assiste au déclin d’une société égalitariste qui est loin du paradis.

Vance a inventé un univers coloré et riche, comme à chaque fois dans ses autres romans. Que dire de plus sinon qu’on s’y croirait ! Dépaysement, intrigues très bien ficelées, personnages intrigants, tout est prétexte pour repartir dans un voyage dans les étoiles.

Résumé :

A la frange de la galaxie se trouve l’Amas d’Alastor, un volume spatial de vingt années – lumière de diamètre où vivent cinq trillions de personnes. Toutes sont soumises à l’autorité du Connatic, qui fait régner la justice, parfois même en personne, sur une des trois mille planètes habitées qu’il gouverne. Bienvenue dans un univers d’une infinie richesse de coutumes, civilisations et systèmes politiques ! Mais si toutes ces planètes sont différentes, l’être humain, lui, ne change pas. Que ce soit sur Trullion la pacifique, Marune la corrompue, Wyst l’utopiste ou Numénès la planète capitale, siège du pouvoir suprême, il est toujours prêt à toutes les bassesses et aux complots les plus sordides pour arriver à ses fins…

J’ai Lu
Traduction (Anglais) : Bruno Martin
Science-fiction (n° 6793)

 

Note: Les recettes tirées des Mondes d’Alastor 

 

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L’automne en images et en musique – 1

Après ma série de « L’été de l’art » (30 articles, 2 saisons), j’ai pensé que continuer notre exploration du monde de l’illustration (et, bonus, avec découvertes et coups de coeur musicaux !) serait une belle aventure.

 

 L’artiste est italienne et s’appelle Rosalia Radosti . On peut trouver ses fan art sur Deviant Art.
Son style est vraiment sympa.

Sans rapport avec Harry Potter :

Sur FB

Premières lignes #23septembre

En ce premier jour de l’automne, voici les premières lignes  de la semaine :

« Toutes les familles sont des sociétés secrètes. Des royaumes d’intrigues et de guerres intestines, gouvernés par leurs propres lois, leurs propres normes, leurs limites et leurs frontières, à l’extérieur desquelles toutes ces règles paraissent souvent insensées.  »

Douglas Kennedy s’attaque en effet à une histoire familiale, sous forme d’une trilogie, qui traverse les années et l’histoire américaine. Nous suivons  ici Alice Burns durant ses dernières années de lycée dans les années 70.
Une fois de plus, l’auteur se plaît à explorer les failles des êtres humains, leurs non-dits, les secrets, au sein d’une famille. Et c’est encore une fois très bien fait.

Si ce premier tome plante le décor et prend le temps de placer les différents personnages, il y a peu de longueurs – donc peu d’ennui. Saga familiale, roman d’apprentissage, La symphonie du hasard est à lire.

Et je peux d’ores et déjà dire que le second tome, situé à Dublin, est encore meilleur…

 

« Comme chaque semaine, Alice Burns, éditrice new-yorkaise, s’apprête à rendre visite à son jeune frère Adam. Jadis jeune loup de Wall Street en pleine ascension, ce dernier croupit désormais en prison.
Mais cette rencontre hebdomadaire va prendre un tour inattendu. Bien décidé à soulager sa conscience, Adam révèle un secret qui pourrait bien venir rompre les derniers liens qui unissent encore leur famille.

Et Alice de replonger dans l’histoire des siens, celle d’un clan à l’image de l’Amérique : volontaire, ambitieux, assoiffé de réussite, souvent attaqué, blessé parfois, en butte à ses propres démons, mais inlassablement en quête de rachat…

Premier volume d’une fresque à l’ampleur inédite, La Symphonie du hasard marque le grand retour de Douglas Kennedy. Dans le bouillonnement social, culturel et politique des sixties-seventies, de New York à Dublin, en passant par l’Amérique latine, un roman-fleuve, porté par un souffle puissant. » Belfond

 

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L’été de l’art #30 – Le dernier de la saison

Parce que l’été se termine bientôt, voici le dernier article de la série  L’été de l’art 2018. Pour rappel, j’avais commencé cette série l’année dernière et vous pouvez retrouver tous les articles sur le blog  .

Je finis donc cette saison avec une petite loutre qui voyage. Mr.Otter est une création de Simon Lee, un artiste chinois qui a fait ses illustrations dans le style de l’ukiyo-e, les estampes japonaises gravées sur le bois (Hiroshige, Hokusai…)

 

 

 

 

 

 

 

 

Premières lignes #16septembre

J’avais le choix, cette semaine, pour ces Premières lignes. Contrairement à la semaine passée où j’hésitais beaucoup …. Parler une nouvelle fois d’un tome d’une série ou mettre l’accent sur une lecture qui ne m’a pas forcément emballée. J’essaie, avec ce rendez-vous hebdomadaire de présenter des Premières lignes lues récemment.

 

« Les deux amoureux regardaient par la fenêtre de leur chambre d’hôtel. Ils rayonnaient de bonheur, mais pour différentes raisons.
Les chutes de neige annoncées depuis près d’une semaine étaient enfin arrivées dans la nuit. « 

Attention, derrière ces lignes totalement innocentes, se cache un polar très bien ficelé et documenté, comme sait le faire Peter James.  L’auteur anglais poursuit ici sa série des Roy Grace entamée en 2005 avec Comme une tombe (Dead simple). Toucher mortel, le 12ème tome,  nous plonge dans une histoire de veuve noire (au sens propre comme au figuré) et de venins… Pour les habitué.es de Roy Grace, on suit sa trajectoire ainsi que sa vie à Brighton. Bref, Toucher Mortel tient en haleine jusqu’au bout et, sans être révolutionnaire, est un très bon thriller hautement venimeux.

 

Vilain petit canard lorsqu’elle était enfant, Jodie Bentley a deux rêves dans la vie : être belle et devenir riche. Le premier réalisé – avec un petit coup de pouce de la chirurgie plastique –, elle travaille désormais ardemment sur le deuxième. Sa philosophie concernant l’argent est simple : on peut soit le gagner, soit se marier avec. Le mariage, facile. C’est se débarrasser du mari après coup qui s’avère compliqué, et qui requiert un réel talent. Rien de mieux que la pratique pour se perfectionner…
De son côté, le commissaire Roy Grace subit la pression de la part de son supérieur et sa précédente affaire lui donne encore des insomnies. De plus, l’enquête sur la disparition de sa femme Sandy est relancée grâce à de nouveaux éléments, alors qu’un ancien adversaire fait son grand retour. Mais pire que tout, il est convaincu qu’une veuve noire opère en ville. Une femme à l’esprit venimeux et mortellement efficace. Grace réalise bien vite qu’il a sous-estimé sa dangerosité…

 

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Les contes de fées de Marija Jevtic – L’été de l’art #29

Marija Sevjtic est une illustratrice serbe :

Cendrillon

 

 

Le petit chaperon rouge

 

 

Blanche Neige

 

La reine des neiges

 

Le joueur de flûte de Hamelin

 

La princesse au petit pois

« Born in Valjevo. In 1994 she graduated from the Faculty of Applied Arts in Belgrade.
Started working in theatre Atelje 212 in the same year.
So far she has realized more than a hundred stage and costume designs for various productions.
Since 1999 she has been a graphic designer.
She is a the co-founder of the magazine for creative education TRACKS, and in 2007 began collaborating with the publishing house Propolis Plus Books for which she works as an illustrator and author of children’s books.
Since 2010 starts cooperation with the Goethe-Institute in Belgrade, for which, among other things, she design the logo of international projects Goethe-Guerilla and Urban Incubator.
During 2013 she has exhibited at the international exhibition « The Art of touch » in Sarajevo and at the May Salon in Belgrade
In 2014 she was a participant of the « Golden Pen ».
She has exhibited in several group exhibitions.
She is the author of three solo exhibitions. »

(source)

 

 

Sur FB

Son site

 

Premières lignes #9 septembre

Cette semaine, mes Premières Lignes sont, pour une fois, des « premières bulles ».
Il n’y a pas de raisons particulières à cela sinon le fait que j’aime énormément la BD et les manga et que me priver d’en parler serait vraiment un tort.

Premières bulles, donc :

Les Trois Soleils de Vinéa – Roger Leloup 

 

 

 

 

Ces dernières semaines, j’ai fait un joli voyage dans le passé – et plus, particulièrement, dans l’enfance – en relisant  des Yoko Tsuno que j’ai pu emprunter à la médiathèque (hélas, je ne possède plus les albums en question). Mais qui est Yoko ?

En plus d’être jolie, intelligente et combative, Yoko Tsuno est électronicienne. Cette spécialité l’entraîne, en compagnie de ses amis Pol et Vic, dans des aventures à mi-chemin entre fantastique et science-fiction. Mais, qu’elle remonte le temps pour se retrouver dans la Bruges du XVe siècle ou qu’elle affronte les dangers de la planète Vinéa, la jeune Japonaise reste toujours fidèle à elle-même, privilégiant la loyauté, l’amitié et le respect de la vie.
Une série d’action et de réflexion, magnifiquement documentée et dessinée par Roger Leloup, un maître du genre.

Yoko est sans doute l’héroïne de mon enfance. Elle cumule ce que j’aimais (j’aime ?) le plus: l’Asie, la SF, l’aventure et le courage. Et c’est une héroïne.
Ici, dans ce qui constitue le 6ème tome de ses aventures, Yoko retrouve une fois de plus Khâny, son amie vinéenne. Accompagnées de leurs amis, elles vont redécouvrir la planète d’origine de Khâny que son peuple croyait détruite: Vinéa.

 

Publiée dans le journal Spirou de 1975, Les trois soleils de Vinéa permettent au lecteurs de revoir Khâny. Il faut dire que les histoires avec les vinéens sont très demandées – et, je pense, toujours très appréciées des lecteurs actuels puisque Roger Leloup, le dessinateur et créateur de Yoko, a publié le 28 ème album cette année (et il s’agit d’une aventure avec les Vinéens).

Et si vous vous demandez d’où vient cette idée de « Vinéa », la réponse est très simple :

Les origines de la planète Vinéa (anagramme de la marque de crème hydratante Nivea) sont expliquées par Roger Leloup dans le supplément du tome 20 (L’Astrologue de Bruges) :

« Vinéa est un univers qui peut exister, mais que j’ai créé de toutes pièces. Son origine remonte à mon enfance. Dans le salon de coiffure de mon père, une publicité vantant la crème Nivea – que, dyslexique, j’avais transformée en Vinéa – avait attiré mon attention. Avec le temps, l’image s’était décolorée et seul le bleu était resté. Une fille, sur l’affiche, avait donc la peau de cette couleur. J’étais convaincu que cette crème rendait la peau bleue. Et quand j’ai imaginé ce peuple venu de l’espace, je me suis rappelé tout cela. Il faut – hélas ! – parfois attendre d’être adulte pour pouvoir raconter ses rêves d’enfance ». 

Les Trois Soleils ….   fait partie des albums les plus réussis de Yoko (avec: Les Titans, La Frontière de la vie ou La Spirale du Temps, tous de la même période). Le dessin s’est affiné, le scénario est ingénieux. Bref, on embarque facilement !

 

Ce que dit Roger Leloup au sujet des Vinéens :

 » Lorsque Yoko est avec les Vinéens, j’ai toujours des petits problèmes parce qu’elle visite ou accompagne un bref instant une civilisation fort avancée, remarque Leloup. Elle mène l’action, mais ce n’est jamais elle qui décide totalement des moyens ni dispose du savoir de ses hôtes. Sa logique propre l’incite souvent à des initiatives risquées que n’envisageraient pas ses compagnons, formés par ce milieu. Khâny lui explique beaucoup. Elle a une grande maturité et semble de ce fait plus âgée que Yoko. Cette dernière la complète cependant sur le plan humain et elles sont un peu dans la situation de deux jumelles fortement personnalisées, suivant chacune son propre développement entre leurs aventures communes. Il y a une évolution progressive dans les personnages. Au départ, on partait dans la bande dessinée grand public : il fallait que cela bouge et les caractères étaient assez flous.
Leur personnalité s’est dégagée petit à petit. Les Vinéens étaient assez froids au début, pratiquement sans sentiments, efficaces mais impersonnels, s’agitant comme les abeilles d’une ruche. J’avais placé Poky pour atténuer cette rigueur et apporter un peu de fraîcheur et de jeunesse dans un monde trop organisé. » (source)

Interview de Roger Leloup : 

 

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Sept larmes au creux de la mer – C.B Lee

 

 

Résumé : La mer cache bien des secrets… Kevin Luong a le coeur brisé le jour où, marchant au bord de l’océan, il se souvient de l’ancienne légende que sa mère lui avait racontée. Il laisse alors tomber sept larmes dans l’eau tout en formulant son souhait : « Je veux être heureux et amoureux… Juste un été… » C’est ainsi qu’il se retrouve à sauver un mystérieux garçon du Pacifique, un garçon qui plus tard apparaît sur le pas de sa porte en lui déclamant son amour. Ce qu’il ne sait pas, c’est que Morgan est un selkie et qu’il est là pour exaucer son souhait. À mesure qu’ils se rapprochent, Morgan est tiraillé entre les dangers du monde humain et son héritage au sein de la communauté selkie vers laquelle il doit revenir à la fin de l’été..

 

C’est une jolie romance  dont je vais parler aujourd’hui.
Tout est très soft dans ce roman de C.B Lee qui sait tisser une belle histoire, sur fond de légendes gaéliques (les selkies !).  Cette histoire d’amour entre deux adolescents est écrite avec une légèreté et une finesse qui sont à souligner. C.B Lee aborde, en plus de la question de l’orientation sexuelle (ou, du moins, romantique), les thèmes de la tolérance, de l’acceptation de l’autre.
J’aime beaucoup les histoires de selkies (très bien illustrées dans Le Chant de la Mer, par ex.). Ici, l’autrice a su tirer parti de ce mythe et peut-être fait découvrir des légendes moins connues.

Finalement, c’est une lecture agréable qui vaut le détour.

 

Merci aux éditions  MXM BOOKMARK    et à Net Galley pour cette lecture.

Un peintre espagnol : Ignacio Zuloaga – L’été de l’art #27

Ignacio Zuloaga 1925.jpg

Ignacio Zuloaga y Zabaleta, né le  à Eibar, et mort le  à Madrid, fut l’un des plus importants peintres espagnols de la fin du XIX ème siècle et du début du XXème siècle.

 

 

Le Portrait de la comtesse Mathieu de Noailles, réalisé vers 1913, est présent dans le livre Les 1001 tableaux qu’il faut avoir vus dans sa vie ; la critique Lucinda Hawksley l’y qualifie de « merveilleusement décadent ».

 

C’est en voyant le portrait de la comtesse que j’ai eu envie de m’intéresser à ce peintre.