Premières lignes #28octobre

Cap au sud, cette semaine pour ces Premières Lignes ! Filons vite vers des températures plus clémentes ( c’est un effet placebo, je crois, dû au fait que j’écris cet article sans chauffage, avec 5°c dehors…. Je vais bientôt devoir taper avec des moufles!)

 » Ce matin, Rino m’a téléphoné, j’ai cru qu’il  voulait encore de l’argent et me suis préparée à le lui refuser. Mais le motif de son appel était tout autre : sa mère avait disparu.
– Depuis combien de temps ?
– Quinze jours.
– Et c’est maintenant que tu m’appelles ? « 

Nous voici à Naples, durant les années 50. Elena Ferrante (cette énigme littéraire)  a su captiver des millions de lecteurs depuis 2011.
J’entendais encore récemment, une dame demander à la libraire si elle pouvait lui trouver une saga aussi passionnante et dixit la lectrice « facile à lire ».
De là, est né un dialogue assez intéressant entre deux lectrices et la libraire pour savoir si, réellement, le cycle de « L’amie prodigieuse »était une « lecture facile » , une lecture accessible au grand public ou bien de la littérature plus « soutenue ». Je ne trancherai pas sur ce point car, pour l’instant, je m’imprègne de ce premier tome qui met en place lieux, personnages, liens entre les personnes…

Si j’ai trouvé le début un peu fastidieux, le roman prend rapidement son rythme. J’ai un peu l’impression de me plonger à nouveau dans une suite familiale du type « La symphonie du hasard « lue il y a peu. On retrouve de nombreux ingrédients communs.
Quant à savoir si ce cycle saura me plaire autant, il est encore trop tôt pour le dire (à suivre, donc).

 

Résumé : Naples, fin des années cinquante. Deux amies, Elena et Lila, vivent dans un quartier défavorisé de la ville, leurs familles sont pauvres et, bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila, la surdouée, abandonne rapidement l’école pour travailler avec son père et son frère dans leur échoppe de cordonnier. Elena, elle, est soutenue par son institutrice, qui pousse ses parents à l’envoyer au collège puis, plus tard, au lycée, comme les enfants des familles aisées. Durant cette période, les deux jeunes filles se transforment physiquement et psychologiquement, s’entraident ou s’en prennent l’une à l’autre. Leurs chemins parfois se croisent et d’autres fois s’écartent, avec pour toile de fond une Naples en ébullition, violente et dure. Des chemins qui les conduiront, non sans ruptures ni souffrances, à l’aube de l’âge adulte.
Formidable voyage dans Naples et dans l’Italie du boom économique, L’amie prodigieuse trace le portrait de deux héroïnes inoubliables, qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse jusqu’au plus profond de leur âme.

Gallimard 

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6 réflexions sur “Premières lignes #28octobre

  1. I know these are really popular but I just don’t get it. I stopped after about 50 pp., which is less than an hour for me.

    In other news, I saw the « The Hate U Give » movie — and I thought it was much better than the book.

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