Premières lignes #27janvier

Les Premières lignes de cette semaine sont celles d’un roman français. Je n’ai pas l’impression d’en lire beaucoup, en ce moment, mais d’être plus attirée par la littérature étrangère.

 » Lucie
Lundi 10 juin 1940

Dès que maman a poussé la porte, j’ai compris que cette journée serait différente des autres. D’abord, il était six heures du matin, ça je le savais parce que les cloches de Ste Marie ont sonné six coups, or, d’habitude, les jours de classe, nous nous levions à sept heures pile. « 

 

Nous sommes le 10 juin 1940. L’armée allemande envahit la Normandie qui se vide de ses habitants. La famille de Lucie quitte provisoirement son logement du Havre.
Ainsi commence ce beau roman à plusieurs voix qui nous emmène de juin 40 à la libération.
Valérie Tong Cuong s’est inspirée de sa famille maternelle pour écrire cette histoire émouvante, toute en délicatesse.

«J’ai récolté et amassé énormément de témoignages, et c’est l’ensemble de ces témoignages qui m’a permis de reconstituer tout ce qu’a vécu cette ville et tout ce qu’ont vécu ses habitants», explique-t-elle. «Mes grands-parents étaient concierges d’école, comme Joffre et Émilie, dans l’école dont je parle. Bien entendu, je me suis énormément inspirée d’eux et de leur famille.»

J’ai reçu ce roman pour avoir fait partie du jury LDP section polars en 2018 et j’en suis ravie car je ne sais pas si j’aurais croisé sa route – peut-être au détour des étagères de la médiathèque… J’ai été d’autant plus touchée que mes grands-parents maternels, normands eux aussi,  ont vécu des situations similaires. Aujourd’hui, il me reste encore ma grand-mère (97 ans)  pour évoquer parfois mais à demi-mots cette période qu’elle déteste (la guerre). 

 

Résumé : Voilà l’histoire de deux familles havraises emportées dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. D’un côté, Joffre et Emélie, concierges d’école durs au mal, patriotes, et leurs enfants ; de l’autre, le clan de Muguette, dont l’insouciance sera ternie par la misère et la maladie.
Du Havre à l’Algérie où certains enfants seront évacués, des chemins de l’exode au sanatorium d’Oissel, ce roman choral met en scène des personnages dont les vies secrètes s’entremêlent à la grande Histoire, et nous rappelle qu’on ne sait jamais quelles forces guident les hommes dans l’adversité

 

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Arts d’hiver – 4

 

J’ai découvert Lori Ransom avec des illustrations qui m’ont fait sourire, sur Instagram.

Je vous laisse découvrir son art et ses gags !

Elle est à l’origine du projet The Daily Drawing :

The Daily Drawing is a series of random scenarios with a fleeting cast of quirky (and often inanimate) characters. Sometimes there’s a dialog, but sometimes not. “Life is weird”, says author Lorie Ransom. “I try to find a bit of ridiculous in the mundane things that most everyone can relate to.” She likes to keep the subject matter light and whimsical, but will occasionally veer into the realm of saucy, just to keep you on your toes.

 

 

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May 27, 2015 #comic #humor #vegetarian #carnivorous #venusflytrap

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August 19, 2015 #comic #funny #gifts #holidays #philosophy

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June 15, 2015 #comic #funny #humor #smoking #dogs #coneofshame

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April 8, 2015 #funny #comic #humor #hamster #jogging

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Interview de Lori Ransom (où on apprend qu’elle adore l’humour des Monty Python)

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Le site The Daily Drawing

Premières lignes #20janvier

 

Les Premières lignes se suivent et ne se ressemblent pas (et heureusement). Cette semaine, un gros roman qui a largement tenu ses promesses.

 » C’est par une douce nuit du début juillet, en cette année depuis longtemps envolée, que les Intéressants se réunirent pour la première fois. Ils n’avaient alors que quinze ou seize ans et ils se donnèrent ce surnom avec une ironie timide. Julie Jacobson, extérieure au groupe, et peut-être même considérée comme une anomalie, avait été invitée pour d’obscures raisons ; assise dans un coin, sur le plancher qui avait besoin d’un coup de balai, elle cherchait à paraître effacée sans avoir l’air pathétique : un équilibre délicat. « 

 

Résumé : 

« Durant les années 1970, Julie, 16 ans, passe une partie de son été à Spirit in the wood, une colonie de vacances. Elle y fait la connaissance d’un groupe de cinq jeunes adolescents qui se sont baptisés «Les Intéressants», par défi vis à vis des autres pensionnaires : Ethan, un surdoué des films d’animation, Goodman et sa soeur Ash, ainsi que Jonah, le fils d’une célèbre chanteuse folk icône de la contre culture, et enfin Cathy, une très belle fille qui rêve de devenir danseuse.

Julie – rebaptisée Jules par les Intéressants – est fascinée par ces jeunes gens de son âge, cultivés, ironiques, talentueux et sûrs d’eux.

Le roman suit l’évolution des Intéressants pendant près de quarante ans. Ethan épousera Ash. Ensemble, ils connaîtront le succès, même si Ethan reste profondément amoureux de Jules. Goodman, lui, devra faire face à la justice. Ash sera détourné de la musique.  Et Jules…  Jules se cherchera pendant de longues années et racontera leur histoire à tous.

Que deviennent les talents et les aspirations de chacun ? Un don de jeunesse peut-il constituer le socle de toute une vie ? Et comment peut-on y rester fidèle malgré les choix qu’impose la vie adulte ? Chacun trahira à sa manière l’adolescent qu’il fut.

Une fresque impressionnante, à la fois réaliste et sensible. Le roman d’un écrivain au sommet de son art.

Les Intéressants , ce sont six adolescents dont nous allons suivre le parcours durant près de quarante ans. Roman dense, roman d’apprentissage, avec Les Intéressants, Meg Wolitzer sait nous capter au fil des pages sans que jamais on y trouve de longueurs. J’ai pris mon temps pour ce livre, pour apprécier chaque personnage, chaque trajectoire et je dois dire que c’est le genre de roman qui sait me happer.
On ne s’y ennuie pas car à aucun moment le lecteur n’a l’impression de lire du « texte dilué » ni de s’ennuyer devant un pavé. Les personnages ont une véritable profondeur (enfin! ). Bref, je ne peux que le conseiller… Une condition: ne pas se hâter dans la lecture.

L’une des plus belles découvertes de ce début d’année

 

Les Intéressants, Editions Rue Fromentin et LDP (2016)

 

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Arts d’hiver – 3

Pour ce troisième Arts d’hiver, voici un  peintre chinois né en 1969 à GuangZhou (Canton) et qui vit à présent à Toronto : Xiao Guo Hui

 »I began painting with oil until I made a pilgrimage to Italy in 2004. I spent day after day visiting chaple after chaple, marvelling at the great master’s great paintings from Giotto to Piero Della Francesca. I was in awe of these masterpieces. I don’t see anything old or out of fashion in their work. On the contrary, I noticed that their precise composition, fantastic ability of managing colour and their solid construction make these paintings universal and timeless. This trip was a pivotal moment where past experiences came together to solidify my calling for painting.
I heard a very seducing voice urging me to follow their guidance toward the realm which I want to attain. After this trip, I started to use egg tempera working on canvas to transform my inspiration. Egg tempera is an ancient technique which brings more transparency to the colour. Thus, it gives the painting an unique temperament. I have become so enamoured with this technique. I love the way egg tempera feels and that it requires to nish a painting stroke by stroke. I believe that a good painting should be done with great patient and passion. Just like an enthusiastic believer praying to the god. I practice with egg tempera yet I never forget the infl uence of Oriental Art, especially the ancient Chinese art which is ingrained in my blood. The way the ancient Chinese artist manages the “blank” space to create implied meaning and sense of equibrium in composition have deeply infl uenced my painting. Aesthetically, I love to stand far away from reality in order to recreate a reality that takes reality by surprise. I am fascinated by play for I believe that only in play is our true nature revealed.
Year after Year, I have been exploring this universal theme, which, like art, cuts across the boundaries of culture and language. »

Xiao Guo Hui

 

 

 

 

 

 

 

 

Premières lignes #13janvier

 

J’espère que l’année 2019 a bien commencé pour vous et, bien sûr, que les lectures déjà faites ou à venir sont nombreuses…
Pour les Premières lignes de cette semaine, j’ai récidivé avec une autrice qui ne m’avait pas convaincue. Je vous en dis plus juste après les premières lignes :

 

 » Les serviteurs les appelaient les malenchki, les petits fantômes, parce qu’ils étaient les plus petits et les plus jeunes, et parce qu’ils hantaient la demeure du duc en gloussant. »

 

 

Résumé : Depuis des siècles, le royaume de Ravka est divisé par le Shadow Fold, épaisse nappe de ténèbres peuplée de créatures sanguinaires. En tant que cartographe pour la Ire armée, Alina doit le traverser pour la première fois. Aussitôt, des volcras l’attaquent. Elle est sauvée par Mal, son meilleur ami, dont elle est secrètement amoureuse et qui, à son tour, se retrouve acculé par les créatures. Elle émet alors malgré elle une lumière puissante, qui repousse les volcras. Dès lors, son destin prend une autre tournure : Alina est l’Invocatrice de lumière, celle qui pourrait vaincre le Shadow Fold et rendre la paix au royaume. La voilà emmenée à la capitale, au Little Palace, où elle entame son apprentissage aux côtés des Grisha, caste de magiciens qui gouverne le royaume avec le roi, et du plus puissant d’entre eux, le Darkling. Mais les intrigues de la cour sont moins simples qu’il n’y paraît, et Alina ignore où est censée aller son allégeance : au roi ?

Après avoir tenté par 3 fois de lire « Six of crows »  et après l’avoir abandonné en cours de route ( tout ressemble beaucoup à « Fils des Brumes  » de Sanderson en beaucoup, beaucoup moins abouti et réussi), j’ai persisté en empruntant les deux premiers tomes de l’autre série située dans l’univers des Grisha.

Malheureusement, je n’ai toujours pas été convaincue. L’histoire se tient, certes mais l’univers et les compétences des Grisha sont vraiment trop survolés. Je ne parle pas des personnages : leur psychologie semble tenir à pas grand chose ( Leigh Bardugo ou comment construire des personnages en carton….). Si j’ai lu le premier tome en entier, je suis allée de déception en déception, rencontrant les mêmes soucis qu’avec Six of Crows : l’univers pourrait être vraiment intéressant mais il n’est pas assez développé, pas assez décrit – il manque de profondeur. C’est ce que je trouve dommage : il y a des tas d’idées mais l’univers n’est pas assez complexe. Et, en fantasy, ce genre de défaut lasse très vite. Alors, oui, on peut lire Grisha si on est novice dans le genre , peut-être (et encore…), ou pour se détendre.
Mais cette fois, je laisse tomber: Leigh Bardugo comme Sabaa Tahir (Une braise sous la cendre)  ou pire, Sarah J. Maas ( Keleana, etc..) me paraissent sorties du même moule.

Par contre, les couvertures de Grisha ou Six of Crows sont de réelles réussites. Dommage que l’intérieur ne soit pas à la hauteur de l’extérieur….

 

 

 

 

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Arts d’hiver – 2

Pour ce deuxième Arts d’hiver, voici un artiste qui a fait beaucoup d’illustrations représentant des animaux et surtout…des chats !

Je le connaissais grâce aux couvertures des romans de Lilian Jackson Braun aux éditions 10/18 : « Le chat qui…. » (les enquêtes de Jim Qwilleran et des deux siamois Koko et YomYom).

 

 

Louis Wain a une vie qui tourne rapidement au tragique :

« Louis Wain ( Londres – ) est un artiste anglais connu pour ses dessins représentant des animaux anthropomorphes, et en particulier des chats.

Aîné et seul fils d’une famille de 6 enfants, il naît à Londres. À l’âge de trente ans, sa plus jeune sœur est internée dans un asile. Les autres sœurs vivent avec leur mère pendant la durée de leur vie, .Wain est né avec une fente labiale et le médecin a donné à ses parents l’ordre qu’il ne devrait pas être envoyé à l’école

Il étudie à la West London School of Art et il y devient professeur. À la mort de son père, il doit subvenir aux besoins de la famille. À 23 ans, il épouse la gouvernante de ses sœurs qui est de dix ans plus âgée que lui. Peu de temps après, sa femme Emily tombe malade : elle souffre d’un cancer. Acette occasion que Louis apprend au chat d’Emily des tours pour la distraire.

En 1886, il publie dans The Illustrated London News sa première illustration de chats intitulé A Kittens Christmas Party (le Noël des chatons). Puis il collabore au magazine pour enfants Little Folks.

Sous le pseudonyme de George Henry Thompson, il va illustrer une série de livres Acclimatation ville . C’est cette série qui le fait connaître en France. Il s’agit d’une ville peuplée d’animaux qui se comportent comme des humains.

En 1907, il se rend à New York où il fournit des dessins à la presse. À son retour, il apprend le décès de sa mère. À cette époque, il commence à montrer des signes d’instabilité mentale : il souffre de schizophrénie. En 1924, il est interné et changera souvent d’hôpitaux jusqu’à sa mort. »

 

 

 

L’évolution de son art: certains pensent que c’est à cause de la maladie mentale mais rien ne le prouve. De toute façon, chaque forme d’art est unique et se doit d’être considérée comme telle. Peut-être Louis Wain s’est-il tourné vers l’abstraction dans sa recherche artistique :

Premières lignes #6janvier

Premières premières lignes de l’année !
Et toujours bonne année, bonne santé et des tas de bonnes et belles choses en 2019

 

 » Nous l’avons pendu sur le parvis de la cathédrale de Kingsbridge. C’est là  qu’ont habituellement lieu les exécutions. Après tout, si vous n’êtes pas capable de tuer un homme à la face de Dieu, mieux vaudrait  sans doute ne pas le tuer du tout. « 

 

C’est avec un pavé que j’ai commencé l’année, un Ken Follett qui poursuit la grande série des Piliers de la terre (puis : Un monde sans fin). J’avais beaucoup aimé Les Piliers de la terre. On retrouve ici les mêmes ingrédients: une documentation très fournie, des personnages ayant existé, plusieurs familles dont les destins vont se croiser…
Dans Une colonne de feu, les personnages sont bien trouvés : un peu trop manichéens, comme souvent chez Follet, on n’est pas là pour explorer en finesse des détails psychologiques. Non, ce qui est bien fait, c’est une certaine reconstitution de l’époque. Parfois, on croirait avoir pris une machine à remonter le temps.

Ensuite, je n’ai pas forcément adhéré à 100% aux descriptions des grands événements historiques comme la St Barthélémy (tellement plus prenante chez Dumas ou chez Robert Merle, par ex.). J’ai eu l’impression aussi que parfois, Follett avait été un brin trop ambitieux et ne développait pas certains aspects. Par exemple, les relations entre Marie Stuart et Elisabeth 1ère sont plus qu’expédiées; idem pour la tentative d’invasion espagnole et la grande Armada.

Pour finir, le roman se lit très bien, particulièrement les deux-tiers. On ne peine pas avec les 900 pages. J’ai un peu survolé la fin qui m’a parue un peu bâclée, par contre.

 

Résumé :En 1558, les pierres patinées de la cathédrale de Kingsbridge dominent une ville déchirée par la haine religieuse. En Angleterre, Elisabeth Tudor devient reine et le pouvoir passe de manière précaire des mains des catholiques à celles des protestants.

Toute l’Europe se dresse contre elle. La jeune souveraine, habile et déterminée, crée les premiers services secrets du pays, afin d’être avertie à temps des complots qui se trament contre sa vie, des projets de rébellion et des plans d’invasion.

À Paris, Marie reine d’Écosse, proclamée souveraine légitime de l’Angleterre, attend son heure. Jeune femme séduisante et obstinée appartenant à une famille française d’une ambition sans scrupule, elle possède de nombreux partisans qui intriguent pour se débarrasser d’Elisabeth.

Ned Willard n’a qu’un désir : épouser Margery Fitzgerald. Mais lorsque les amoureux se retrouvent de part et d’autre de la fracture religieuse qui divise le pays, Ned se place au service de la princesse Elisabeth. En ce demi-siècle tourmenté où l’extrémisme attise la violence d’Edimbourg à Genève en passant par Paris, l’amour entre Ned et Margery paraît condamné.

 

A lire aussi:

  • Les piliers de la terre – même auteur
  • La cathédrale de la mer (saga formidable) – Ildefonso Falcones
  • Fortune de France – Robert Merle
  • Les rois maudits – Maurice Druon
  • La reine Margot – Alexandre Dumas

 

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Arts d’hiver #1

Après avoir passé l’été artistiquement (L’été de l’art) puis l’automne (Automne en images et en musique) , partons donc à la découverte d’arts divers et d’hiver. Ces articles sont le fruit de mes découvertes ou de mes coups de coeur (ou de re-découvertes, aussi). Pour commencer cette année, je vous propose des photos de mode signées George Hoyningen-Huene:

George Hoyningen-Huene par Cartier-Bresson

 » George Hoyningen-Huene (né le  à Saint-Pétersbourg et mort le   à Los Angeles) est un photographe de mode fécond des années 1920 et 1930.

Après avoir débuté l’année précédente comme illustrateur pour Condé Nast, vers 1926, Georg parvient au poste de chef de la photographie pour Vogue Paris ; il y restera une dizaine d’années. Les images issues du studio sont destinées à l’édition française mais également américaine de Vogue, et il devient connu également de l’autre côté de l’Atlantique.

Hoyningen-Huene qui anglicise son prénom en George déménage pour New York où il travaille principalement pour Harper’s Bazaar. Il publie deux livres d’art sur la Grèce et l’Égypte avant de s’installer à Hollywood, où il fait des portraits de stars de cinéma.

Il travaille étroitement avec George Cukor, en particulier comme consultant spécial sur les couleurs et les prises de vue du film Une étoile est née avec Judy Garland (1954). Il accomplit le même travail pour le film Les Girls, avec Kay Kendall et Mitzi Gaynor (1957), et le film de Sophia Loren Heller in Pink Tights » (wiki)

 

 

 

 

 

 

 

Corbis flowing dress by Madeleine Vionnet George_Hoyningen-Huene