Premières lignes #13janvier

 

J’espère que l’année 2019 a bien commencé pour vous et, bien sûr, que les lectures déjà faites ou à venir sont nombreuses…
Pour les Premières lignes de cette semaine, j’ai récidivé avec une autrice qui ne m’avait pas convaincue. Je vous en dis plus juste après les premières lignes :

 

 » Les serviteurs les appelaient les malenchki, les petits fantômes, parce qu’ils étaient les plus petits et les plus jeunes, et parce qu’ils hantaient la demeure du duc en gloussant. »

 

 

Résumé : Depuis des siècles, le royaume de Ravka est divisé par le Shadow Fold, épaisse nappe de ténèbres peuplée de créatures sanguinaires. En tant que cartographe pour la Ire armée, Alina doit le traverser pour la première fois. Aussitôt, des volcras l’attaquent. Elle est sauvée par Mal, son meilleur ami, dont elle est secrètement amoureuse et qui, à son tour, se retrouve acculé par les créatures. Elle émet alors malgré elle une lumière puissante, qui repousse les volcras. Dès lors, son destin prend une autre tournure : Alina est l’Invocatrice de lumière, celle qui pourrait vaincre le Shadow Fold et rendre la paix au royaume. La voilà emmenée à la capitale, au Little Palace, où elle entame son apprentissage aux côtés des Grisha, caste de magiciens qui gouverne le royaume avec le roi, et du plus puissant d’entre eux, le Darkling. Mais les intrigues de la cour sont moins simples qu’il n’y paraît, et Alina ignore où est censée aller son allégeance : au roi ?

Après avoir tenté par 3 fois de lire « Six of crows »  et après l’avoir abandonné en cours de route ( tout ressemble beaucoup à « Fils des Brumes  » de Sanderson en beaucoup, beaucoup moins abouti et réussi), j’ai persisté en empruntant les deux premiers tomes de l’autre série située dans l’univers des Grisha.

Malheureusement, je n’ai toujours pas été convaincue. L’histoire se tient, certes mais l’univers et les compétences des Grisha sont vraiment trop survolés. Je ne parle pas des personnages : leur psychologie semble tenir à pas grand chose ( Leigh Bardugo ou comment construire des personnages en carton….). Si j’ai lu le premier tome en entier, je suis allée de déception en déception, rencontrant les mêmes soucis qu’avec Six of Crows : l’univers pourrait être vraiment intéressant mais il n’est pas assez développé, pas assez décrit – il manque de profondeur. C’est ce que je trouve dommage : il y a des tas d’idées mais l’univers n’est pas assez complexe. Et, en fantasy, ce genre de défaut lasse très vite. Alors, oui, on peut lire Grisha si on est novice dans le genre , peut-être (et encore…), ou pour se détendre.
Mais cette fois, je laisse tomber: Leigh Bardugo comme Sabaa Tahir (Une braise sous la cendre)  ou pire, Sarah J. Maas ( Keleana, etc..) me paraissent sorties du même moule.

Par contre, les couvertures de Grisha ou Six of Crows sont de réelles réussites. Dommage que l’intérieur ne soit pas à la hauteur de l’extérieur….

 

 

 

 

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