Premières lignes #30juin spécial HMSFFF de juin

Dernière lecture consacrée au thème du mois de juin « Monstres et créatures  du challenge HMSFFF, ces premières lignes appartiennent à un célèbre auteur de fantasy:

« Depuis des temps immémoriaux, la Maison du Ver restait livrée à la corruption – ce qui allait de soi, car la corruption n’est autre qu’un des attributs du Ver blanc. Les yaga-la- bai, les enfants du Ver, se contentaient de sourire et de vivre leur vie, bien que les tentures pourrissent sur les parois de leurs tunnels interminables, que leurs effectifs se réduisent année après année, que la viande se fasse de plus en plus rare et que la roche qui les entourait tombe en poussière. « 

Nouvelle publiée en 1976, Dans la maison du ver a été rééditée récemment chez Pygmalion avec de belles illustrations – et est signée GRR Martin qui a aussi écrit de la SF.
Court récit initiatique, horrifique, descente (ça, on descend! ), rencontre avec l’autre, nous rappelant que les monstres ne sont toujours pas ceux auxquels pense, Dans la maison du ver aurait mérité d’être plus amplement développée – même si le fait de croiser de gros vers blancs est passablement un brin dégoûtant. Bah oui, que voulez-vous, je sais bien qu’ils sont utiles, n’empêche que je les trouve pas très ragoûtants…
A part ça, j’aurais bien aimé en savoir plus : que s’est-il passé ? Quel est ce monde ?
A noter en positif : l’ambiance dans ces tunnels. Tout se déroule dans le noir et on y est! On avance avec les personnages, à l’aveugle. L’atmosphère en devient pesante, irrespirable, terrifiante. C’est superbement bien fait. S’il fallait prouver une fois de plus que Martin est un très bon écrivain….

Résumé : Sous les ruines d’un monde ancien grouille la vie. Dans une ville croulante, sur une planète mourante et oubliée de tous, le jeune Annelyn profite de la fête organisée à l’occasion de la nouvelle Mascarade solaire. Superbe dans son costume de soie, son arrogance est à la hauteur de sa beauté. Quand il est moqué devant ses nobles amis par le Viandard, chasseur de grouns, il échafaude un plan de revanche. Mais la terrible vérité qui se cache derrière l’histoire de son ennemi va transformer sa tentative en une inexorable descente aux enfers

Prochain thème du challenge pour le mois de juillet :

 

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La pop culture en tableaux de Denver Balbaboco – L’été de l’art #31

De retour avec la troisième édition de L’été de l’art ! Pour retrouver les anciens articles, c’est ici.

On commence avec un artiste philippin, Denver Balbaboco. 

Une interview faite en 2016 par son cousin est à lire ici.

Olenna Tyrell of House Tyrell graphite sketch.

Après Game of thrones, Harry Potter, façon tableau classique :

Avengers 

 

 

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Frankenstein 1918 — Johan Héliot

Cette fois, c’est  d’un Frankenstein un peu spécial que je vais parler.
Premières lignes :

« La folie de Winston » – extrait 1 (version non censurée et révisée) par Edmond Laroche-Voisin, professeur honoraire des Facultés de Paris et Berlin
Anvers fut l’endroit d’un tournant décisif dans l’évolution des combats qui conduisirent l’Europe, d’abord, puis le monde à la Guerre terminale, même  si bien peu parmi les influents décisionnaires politiques et militaires de l’époque en eurent l’intuition. »

Cet hommage au roman de Mary Shelley est avant tout une uchronie extrêmement bien pensée. Johan Heliot aime détourner  l’Histoire, et il le fait bien.
J’ai apprécié l’aspect « documents » basé sur l’imaginaire ainsi que le fait de jouer avec des personnages existants tels que : Hemingway, Marie Curie, Winston Churchill.
On ne s’ennuie pas et l’alternance des narrateurs apporte des éléments intéressants. Le rythme n’est sans doute pas effréné mais ce n’est pas ce que je recherche principalement.
Je note simplement un petit bémol pour l’intrigue qui se révèle finalement assez plate.

Je conseille ce roman, pour les fans d’uchronie, pour les fans – ou les déçus de Frankenstein de Mary Shelley aussi – un roman que, pour ma part, je ne le relirai pas, ayant eu une indigestion de ce roman pendant mes études.

Et, pour le challenge, niveau créatures, on est servi avec les fameux Frankies !

Résumé : 
Grande Guerre, 1914. Après un premier engagement désastreux, les Anglais décident l’opération Frankenstein : plutôt que de construire des chars, on créera de la chair à canon. À partir des archives du fameux docteur et grâce à la production d’électricité à présent industrialisée, des unités de soldats pouvant être sacrifiés sans remords seront fabriquées,  les champs de bataille du nord de la France fourniront la « matière première ». Winston Churchill est nommé responsable de l’unité de recherche sur la régénération. Les « frankies » vont faire leurs preuves sur le terrain, mais la société se partage entre pro et anti. L’opération finalement interrompue, l’un d’eux, Victor, échappe au massacre puis est secouru par Marie Curie qui le rend à la vie consciente grâce aux radiations. Réfugié dans les décombres de Londres, qui a été détruite et rendue inhabitable par un bombardement à l’arme chimique, Victor retrouve le laboratoire où il est né, y recueille Churchill et engage un combat pour l’émancipation des siens. C’est là qu’un jeune couple, elle, résistante à l’occupation, lui, historien, finit par le retrouver en 1958, dans l’espoir de lever le voile sur ce versant secret de l’Histoire que la censure en vigueur ne suffit pas à expliquer.

Le printemps de l’art – 14

Voilà le dernier article du « Printemps de l’art« , une saison riche en découvertes !

Une pépite de l’illustration du début du XXème, cette semaine :

Charles Gesmar (1900-1928), est l’ un des dessinateurs parmi les plus créatifs et innovateurs. Dès l’âge de quinze ans, il dessinait déjà les costumes pour Mlle Spinelly, une des plus célèbres actrices de l’époque. À seize ans il commence à dessiner pour Mistinguett, la reine du music-hall.

Malgré sa brève carrière, brisée par une pneumonie à ving-sept ans, en neuf ans,   il produit plus de douze-mille dessins de costumes, une trentaine de couvertures de programmes et cinquante-cinq affiches.

Diane Belli et Gaston Gerlys : [affiche] / [C. Gesmar]

 

 

[Elvire Popesco] : [affiche] / [C. Gesmar]

 

Lucienne Delahaye : [affiche] / [C. Gesmar]

CHARLES GESMAR 1900-1928 L

Doriane, Cabaret Affiche: artiste Charles Gesmar, 1920s (30 x 40 cm imprimé)

 

 

 

Premières lignes – spécial challenge HMSFFF #16juin

La semaine dernière, je vous disais que j’étais en « pause de challenge HMSFFF ». La raison était principalement une première lecture mitigée… dont je vais parler ici aujourd’hui ! Et voici les premières lignes de la semaine :

« Le bruit des échanges radio m’emplit les oreilles. Des voix différentes qui parlent en même temps.
Est ce que ça y est ? Est-ce que je vais la trouver ?
 » Identification confirmée: VMAL New Haven. Il n’a pas donné signe de vie depuis trois ans. 
– Les boucliers énergétiques sont coupés. Vous pouvez approcher sans problème.  » « 

Et pour donner un peu de sens à ce début, le résumé, tout de suite :

CAPITAINE CONRAD HARRIS : DÉCÉDÉ Le voilà, le moment que je déteste. Me réveiller, c’est toujours pire que mourir. Et notre homme sait de quoi il parle ; il en a connu des missions suicides, incarné dans un « simulant », un clone aux capacités neurophysiologiques exceptionnelles. Ce n’est pas pour rien qu’on l’a surnommé Lazare, cet éternel ressuscité. Son équipe de SimOps et lui sont les soldats d’élite de l’Alliance, engagés dans la guerre impitoyable de l’humanité contre les Krells. À qui d’autre confier la mission « Clef-de-voûte » ? Elle les entraînera en territoire ennemi, vers une station de recherche secrète chargée d’étudier un mystérieux artefact qui n’est ni krell ni humain. Mais les meilleurs guerriers ne sont pas toujours préparés à ce qui les attend. Et Harris lui-même poursuit une autre quête qui le tourmente…

Lazare en guerre: l’artefact est donc le premier tome d’une trilogie (suivie d’une seconde trilogie : La guerre sans fin).
Premier point dont j’aurais dû me méfier: il s’agit de SF militaire. Je dois le dire tout de suite: ce qui se rapporte à l’armée n’est pas ma tasse de thé. Et cela s’est confirmé avec cette lecture.
Le roman débute par un premier chapitre percutant à la fin duquel il s’avère que notre personnage principal est décédé.
Enfin, pas tout à fait: son clone est mort.
Le principe fait d’ailleurs largement penser à Avatar, de James Cameron. Mais l’usage de ces super-clones n’est pas sans effet sur leurs utilisateurs: les soldats sont tous rongés psychologiquement, voire instables, souffrant de trouble de stress post-traumatique, le personnage principal Conrad Harris en tête !
Les scènes de bataille/baston sont bien décrites, ceci dit mais n’étant pas fan de déchaînement de violence/armes à feu, je ne peux pas dire que j’y ai été très sensible.
J’ai souvent eu l’impression de revoir Aliens (particulièrement le second film), avec les marines embarqués dans une mission suicide face aux vilaines bébêtes – sauf que je préfère regarder Alien !
D’ailleurs, qu’en est-il, des créatures ?
Pas grand chose, justement. Elles semblent être un prétexte, une justification de cette guerre. J’aurais aimé qu’on en apprenne plus, qu’elles soient plus présentes…

De même, j’aurais aimé que les personnages soient moins stéréotypés: le capitaine traumatisé, la seule femme, le latino, le bleu… Voilà, c’est sympa mais on a déjà vu/lu ça mille fois. Tout est un peu trop caricatural à mon goût (les flash-backs du capitaine, par ex.). J’ai eu l’impression de revoir des scènes de films de guerre, particulièrement ceux qui se passent durant la guerre du Vietnam ( Platoon, Full metal jacket, Apocalypse now , peut-être en ai-je trop vu, finalement ? ).
Le plus délectable est la big référence à Joseph Conrad (qui donne son nom au capitaine, en passant) et à Au coeur des ténèbres, qui inspira Coppola pour son Apocalypse Now (la connexion est très forte entre ces oeuvres).
Beaucoup de thèmes sont  abordés : la guerre, la mort, l’utilisation de drones et ce qui en découle,  la folie, le mysticisme…

Il reste que le livre n’est pas mauvais du tout: il se lit bien, on a envie d’avancer, de savoir. C’est solide, bien construit.
Malgré tout, je me suis ennuyée en le lisant et, non, je n’ai pas envie de connaître la suite. Je pense que je ne constitue simplement pas le bon public pour ce genre. 

Apocalypse Now – Kurtz:

26/01/2017
Editeur Atalante
Collection Sf Militaire

Une interview de l’auteur qui parle, entre autres, de la nouvelle trilogie et de ses influences.

Je vous parle bientôt de mes autres lectures pour le challenge (j’ai trouvé deux romans en lien avec le sujet à la médiathèque !).

Tous les détails du Hold My SFFF challenge sont à retrouver chez  Charmant Petit Monstre et Pretty Rosemary!

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Premières lignes #9juin

Je fais une pause dans le challenge SFFF et le thème du mois . Juin n’étant pas fini, j’ai le temps encore pour quelques livres qui entreront dans le thème. Ma première lecture  pour le challenge n’avait pas été concluante (j’en reparlerai) mais j’en ai d’autres à venir. J’avais donc bien besoin de me changer les idées :

 » 5 ans plus tôt
– Kaladin, tu as vu  cette pierre ? demanda Tien. Elle change de couleur quand tu l’observes sous différents angles.
Kaladin se détourna de la fenêtre pour regarder son frère. A treize ans désormais, le garçon enthousiaste qu’avait été Tien s’était transformé en un adolescent qui ne l’était pas moins. « 

De retour  à la fantasy (et le top de la fantasy) avec  La voie des Rois. T.2  de Brandon Sanderson.
Voyant que je pouvais me procurer la suite de la Voie des Rois, sortie en 2 tomes en France, je me suis replongée dans la lecture du second tome que j’avais un peu oublié avant d’attaque Le livre des Radieux (Les archives de Roshar). Et j’ai bien fait car l’oeuvre est dense ! J’avais oublié pas mal de détails …
De Sanderson, on connaît souvent Fils-des-Brumes. Mais, avec les Archives de Roshar, on touche à un niveau rarement atteint en fantasy. Autant le dire tout de suite: c’est un chef d’oeuvre : écriture maîtrisée très bien rendue par la traduction de Mélanie Fazi, des points de vue différents qui permettent de développer les personnages (Kaladin, Shallan, un univers riche (les peuples, leurs légendes, les coutumes, etc..).
Je dois dire que j’ai rarement été déçue avec Sanderson (Elantris, Fils-des-Brumes, Warbreaker). J’avais simplement trouvé le troisième tome de Fils-des-Brumes un peu plus faible (Le Héros des siècles) ; Elantris , premier roman de l’auteur, n’était sans doute pas assez abouti mais j’avais alors découvert Sanderson. Et je ne l’ai jamais regretté…
Dire qu’il faut le lire ?
Oui, mille fois oui !

La Voie des Rois, Volume 2 (Les Archives de Roshar, Tome 1)

Résumé : Roshar, monde de pierres et d’orages.
D’étranges tempêtes de pouvoirs balaient les terres accidentées tellement souvent, qu’elles ont influencé l’écologie et la civilisation. Les animaux se cachent dans des coquillages, les arbres rentrent leurs branches et l’herbe se rétracte dans le sol. Les cités sont construites uniquement où la topographie offre une protection.
Des siècles ont passé depuis la chute des dix ordres consacrés connus sous le nom de Chevaliers Radieux, mais leurs avatars, des épées et des armures mystiques qui transforment des hommes ordinaires en guerriers quasi invincibles, sont toujours là. Des royaumes sont échangés contre ces objets, des guerres sont menées en leur nom et gagnées grâce à eux.
Une de ces guerres se déroule sur le paysage dévasté qu’on appelle les Plaines Brisées. Là, Kaladin, qui a abandonné ses études de médecine contre une arme pour protéger son petit frère, a été réduit en esclavage. Dans une guerre insensée, où dix armées combattent séparément contre un unique ennemi, il lutte pour sauver ses hommes et pour apaiser les chefs qui les considèrent comme quantité négligeable.
Le Clarissime Dalinar Kholin commande une de ces armées et, comme son frère feu le roi, il est fasciné par un texte ancien appelé La Voie des Rois. Hanté par des visions des temps anciens et par les Chevaliers Radieux, il commence à douter de sa santé mentale.
De l’autre côté de l’océan, une jeune femme appelée Shallan cherche à devenir apprentie de l’éminente et hérétique Jasnah Kholin, la nièce de Dalinar.

 

ShallanPainting

 

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Le printemps de l’art – 12

 

La Hongrie est à l’honneur cette semaine !

Géza Faragó  ( 1877 1928 ) est un peintre  qui est considéré comme l’un des plus importants représentants  de l’Art Nouveau hongrois. Il est surtout connu pour ses posters et ses caricatures. Son style est proche de celui de Mucha.

J’aime beaucoup la délicatesse et l’humour qui se mélangent dans ses oeuvres.

 

Fargo Geza. (1877 - 1928)

 

 

Lire de la SFFF ? Un challenge sympa !

Qu’on ait l’habitude ou pas de lire de la SFFF (Science-fiction, Fantasy et Fantastique),

qu’on en lise un peu, beaucoup, qu’on soit fan ou qu’on ait envie de découvrir le genre, voici un excellent challenge littéraire  lancé par Charmant Petit Monstre et Pretty Rosemary!

Alors, ça se passe comment ?

  • Un challenge sur un an, du 1er Juin 2019 au 31 Mai 2020,
  • Un thème par mois,
  • Une sélection de 10 romans chaque mois,
  • Trois niveaux de difficulté,
  • Du plaisir en barre fois mille XXXL

La participation au challenge ne nécessite AUCUNE INSCRIPTION (j’adore cette idée!)

Si ça vous intéresse, il n’est pas trop tard (il n’est jamais trop tard), rejoignez-nous sur le groupe facebook « Hold My SFFF Challenge » pour partager  avis, chroniques, coups de coeur. On ne mange personne !

Du coup, vous pouvez commencer dès aujourd’hui, le thème de juin étant consacré au thème « Monstres et Créatures » : 

HMSFFF juin

La sélection de livres n’est pas exhaustive. Elle permet de débloquer  des titres bonus si tu veux passer au level supérieur du challenge (bah, oui, sinon, c’est pas vraiment un challenge !) :

HMSFFF titres

N’hésitez pas, ça n’engage à rien ! sauf à faire de belles découvertes littéraires ! Et surtout, n’oubliez pas de partager vos avis, lectures, etc… avec le  le hashtag #HMSFFF sur Twitter, FB,  Instagram .

 

Pour l’instant, j’ai choisi de lire Lazare en guerre (T.1 – L’artefact) de Jamie Sawyer, histoire de découvrir un roman que je n’avais pas déjà lu. Pour l’instant, j’ai avancé assez rapidement. Par contre, je trouve le roman bourré de clichés, du déjà-lu (une partie m’a fait penser à une partie de l’Eveil du Léviathan (The Expanse, pour la série). Et non, je ne suis toujours pas fan de guerre ni des problèmes des militaires…


Au hasard, parmi les romans de SFFF parlant de créatures de toutes sortes, je pensais  aux Griffes et des Crocs de Jo Walton qui propose une histoire peu ordinaire de dragons (j’en avais parlé ici), ou à la série de Robin Hobb, la Cité des Anciens.
Question créatures, en urban fantasy, je conseille A comme Association de Erik Lhomme et Pierre Bottero.
Je pensais aussi aux créatures qui marquent le cycle de Tschaï, un grand classique de la SF, signé Jack Vance. 

 

Dans un autre registre et en parlant de Lovecraft qui est aussi proposé, voilà une très bonne vidéo à propos de Cthulhu et des tous les autres:


La liste est longue ! 

Bonnes lectures !