Certains disent qu’elle est symboliste, d’autres pré-raphaëlite, Elisabeth Sonrel aimait surtout représenter des personnages féminins et s’inspirer des légendes – dont la légende arthurienne. Peu connue aujourd’hui, elle est née en 1874 à Tours ; son père Stéphane Sonrel était médecin mais aussi peintre à ses heures ainsi que son oncle, aquarelliste amateur. Les Beaux-Arts n’acceptant pas les femmes ( et ceci jusqu’en 1897) , elle part étudier à l’’Académie Jullian auprès de Jules Lefebvre.
Malgré les difficultés de son statut de femme non mariée, E. Sonrel expose au Salon des artistes français de 1893 à 1941. Elle obtient la médaille de bronze de l’Exposition universelle de 1900, le prix Henri Lehmann. (source)