La saison des citrouilles : c’est Halloween qui arrive !

Par ce temps de brume, de pluie et de grisaille, on s’attend presque à voir surgir au prochain croisement une silhouette fantomatique…. Brrrr, mais c’est bientôt Halloween ! Sortons les balais et les chapeaux pointus ! Dansons sorcier !

 

 

École Vintage Halloween sorcière téléchargement numérique Clip image 0

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Paulette Goddard - vintage Halloween

 

 

 

Sorcière de chat image 0

(et d'autres ici)



Marilyn Monroe, 1945

Et en musique !

 

 

Vous pouvez retrouver les Halloween précédents ici ici ou bien ici, sans oublier la sélection de livres, ou de titres musicaux. Sans oublier les photos sur mon autre blog   LeyArts Photos. 

 

L’anti-magicien – Sébastien de Castel / premières lignes

Ce mois d’octobre aura été un bon crû, surtout pour la fantasy. Grâce au thème du mois de challenge HMSFFF  , la magie , je passe un super moment de lecture (sûrement le meilleur thème pour l’instant !). Et voici donc les premières lignes de cette semaine :

 » Les vieux maîtres de sort aiment raconter que la magie a un goût. Les sorts de braise ressemblent à une épice qui vous brûle le bout de la langue. La magie du souffle est subtile, presque rafraîchissante, un peu comme si vous teniez une feuille de menthe entre vos lèvres. Le sable, la soie, le sang, le fer…chacune de ces magies a son parfum. « 

J’ai enfin lu cet Anti-magicien, conseillée par Mr. Chours qui s’était laissé happer par les deux premiers tomes et en était ressorti plutôt enthousiaste. L’originalité de l’histoire est due à un jeune héros, Kelen, qui évolue dans un monde structuré par la magie – ressemblant fort à l’Egypte antique, d’ailleurs –  et qui est presque entièrement dépourvu de dons magiques. De la magie sans magie, donc.
Cet univers ne supportant pas la faiblesse des « sans magie » – en gros, si tu ne possèdes pas l’art de la magie, tu es voué à devenir un esclave -, Kelen est confronté à un sérieux problème : comment passer son examen de mage et raffermir la puissance de sa famille à un moment-clé (son père brigue un titre de chef) alors qu’il ne peut pas jeter un sort ?
Il va être coaché par une femme étonnante, une vagabonde aux répliques qui font mouche — les seuls moments sympas du livre, à mon goût, le reste étant assez plat et convenu.
Au choix :
« La magie, c’est de l’escroquerie. » ou « Une femme, c’est un homme en plus malin et avec plus de couilles. »
Si j’ai bien aimé le système de magie, je suis restée sur ma faim (fin). Quant au reste, c’est très light. Les méchants sont méchants. On sait d’emblée où tout ça va finir. Trop de points faibles, à mon sens.  Et c’est dommage et un peu énervant. Surtout quand on peut lire des pépites bien mieux écrites ou plus sombres ( Benedict Jacka et Alex Verus – impeccable)  ou bien plus drôles comme Audrey Alwett avec « Magic Charly! « . Ce qui me rassure sur la santé de la fantasy « jeunesse ou YA » (peu importe sa classification, on y trouve des pépites).
Ici, je sais que c’est un premier tome. L’univers est peut-être développé ultérieurement. Mais à ce stade, je n’ai pas très envie de poursuivre cette série. Ou alors, si j’ai du temps à perdre, rien à lire et…. ça fait beaucoup de « si », quand même.
Disons que j’ai essayé et que je n’ai pas été convaincue, ça sera mieux.

L'Anti-Magicien, tome 1 par  Castell

Résumé :

Kelen, 16 ans, est l’héritier d’une des grandes familles qui se disputent le trône de la cité. Il prépare son premier duel pour devenir mage. Mais ses pouvoirs ont disparu. Il doit ruser… ou tricher, quitte à risquer l’exil, voire pire.
Ses seuls soutiens, deux acolytes explosifs: Furia, la vagabonde imprévisible et Rakis, un chacureuil féroce et acerbe.

La saga d’un jeune héros tiraillé entre rébellion et loyauté envers les siens. Action et secrets dans une société au bord du chaos: une grande fresque originale et puissante, où la fantasy rencontre l’humour.

Les blogueurs et blogueuses qui y participent aussi au RDV Premières Lignes de Ma Lecturothèque:

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 Mille rêves en moi

L’automne en images et en musique – 18

Un petit tour du côté de l’Art Nouveau et du Symbolisme (parce que je déteste ça, bien sûr😉)  pour l’artiste de cette semaine : Georges de Feure 

Georges de Feure, pseudonyme de Georges Joseph van Sluijters, né le  à Paris et mort le  dans la même ville, est un artiste peintre, affichiste et designer de meubles, d’objets décoratifs et d’aéroplanes français.

 

Il est connu pour ses « femmes fatales », un concept pas forcément très sympa et – heureusement – dépassé pour notre XXI ème siècle mais qui donne de très belles oeuvres.

«  Ce concept est essentiellement baudelairien, typique de la misogynie du milieu artistique de l’époque. (….) Les femmes y étaient triomphantes et dédaigneuses, les hommes souffrant, pleurant et même mourant de leur amour timide et angoissé. Tandis que de Feure peignait l’aspect dur, cruel de la femme et « son charme de perversité inconsciente (sic) », il montrait « dans l’homme sa platitude de serf amoureux, de chien à l’attache ». Pour souligner le rapport de force entre les deux sexes, les femmes étaient représentées riches et élégamment vêtues, tandis que les hommes étaient « pauvres, flétris, loqueteux, minables ».  (Extrait de Georges de Feure, maître du symbolisme et de l’Art nouveau, de Ian Millman)

On remarque que la femme fatale est souvent une fumeuse ! Amusant….

« La source du mal  » – (ci-dessous) – celui-ci me rappelle des dessins ou des peintures des années 1970, très psychédélique : 

 

La Porte des rêves est un livre de contes de l’écrivain symboliste Marcel Schwob (1867-1905), illustré par Georges de Feure :

Un vitrail

Affiches

J’ai découvert ce peintre par un détour amusant : un partage fait par l’écrivain Pierre Pevel d’une page FB nommée La Belle époque (en lien avec son cycle du Paris des Merveilles). Comme quoi, parfois FB sert encore à quelque chose (même si j’en doute et si je fuis de plus en plus ce réseau social ). 

Invitation chez Alice in Wonderland

Pas de premières lignes cette semaine pour des raisons diverses ( lectures non terminées, week-end un peu bousculé, challenge HMSFFF à peaufiner, ….) mais je vous invite à entrer aux pays des Merveilles en photos avec un thème Alice.

En effet, récemment nous avons fêté nos (presque) non-anniversaires, Mr. Chours et moi sur le thème d’Alice au Pays des Merveilles. Je dis « presque » puisque les anniversaires étaient un peu dépassés (d’ 1 semaine pour JB, d’un peu plus pour moi). C’était surtout l’occasion de réunir des gens sympas autour de nous et de passer un bon moment. Nous avions déjà fait un thème Harry Potter il y a deux ans, alors que nous venions de passer tous les deux une nouvelles dizaine (pas la même ^^, mais on s’en fiche). 

 

C’est le Chat du Cheschire qui accueillait tout le monde. 

alice

Sablés salé, madeleine salées, c’est le monde à l’envers

 On trouve de tout dans les tasses

Les champignons de la chenille

eat me 

 

Les illustrations d’Arthur Rackham

Et la référence au dessin animé….

Je trouve que préparer une petite soirée comme ça est vraiment agréable : cela demande pas mal d’imagination et de créativité. Il y a moins de sites pour trouver des idées de recettes Alice : toutes tournent autour des gâteaux… De même, pour la déco, on trouve pas mal de : tea party, anniversaires d’enfants et de …mariages ! Mais en général, c’est moins fourni que pour Harry Potter ( des tas de sites sont consacrés à la déco, aux recettes, aux objets à fabriquer…). J’ai donc mis à contribution un peu tout le monde : par ex.,   j’ai demandé de la vaisselle anglaise (service à café, assiettes) à ma mère (vaisselle qui provient réellement de mon arrière-grand-mère ).  So british...

Inutile de préciser qu’on a passé une très bonne soirée….

Et quAlice in Wonderland reste un classique universel.

 

L’automne en images et en musique – 17

Retour à l’art graphique cette semaine avec Mead Schaeffer ( (1898-1980) un illustrateur américain  qui a travaillé pour l’édition  (illustrations de romans d’aventures) comme pour la presse (réalisation de couvertures et illustrations d’articles).

 

Forbidden Lover

 

Le comte de Monte-Christo :

The Count of Monte Cristo

 

MEAD SCHAEFFER

 

Moby Dick

Mead Schaeffer, Moby Dick

Mead Schaeffer, Moby Dick

Mead Schaeffer, Moby Dick

 

Les misérables

LES MISÉRABLES. Victor Hugo. Cuir fin reliure couleur des image 0

elegant young woman turning away from older woman (illus. for her royal highness by achmed abdullah for issue of cosmopolitan) by mead schaeffer

 

Barn Dance by Mead Schaeffer November 25, 1944

Premières lignes #14octobre

Un roman qui s’intègre bien au thème du mois d’octobre du HMSFFF Challenge (la magie ) et dont voici tout de suite les premières lignes :

 » Je suis au chaud, à l’abri dans la tanière, en compagnie de mon frère et de ma soeur. ils sont plus grands et plus vigoureux que moi. Né le dernier, je suis le plus chétif des trois ; mes yeux ont été lents à s’ouvrir, et je suis le moins aventureux. Mon frère et ma soeur se sont risqués plus d’une fois à suivre notre mère jusqu’à l’entrée de la tanière  creusée dans la rive que sape le torrent ; elle les a toujours refoulés en grondant et en claquant des mâchoires. « 

Pas de suspense : on est dans la fantasy avec une autrice qui a écrit des suites très connues (et à rallonge) : Robin Hobb .

Cette fois, je (re )lis la suite  de l’Assassin Royal et je la termine puisque tous les tomes sont parus – et disponibles à la bibliothèque. Hourra ! J’avais commencé à lire cette suite des aventures de Fitz et du Fou (le retour du Fou ! ) mais j’avais arrêté, lasse de devoir attendre chaque tome.

Cette fois, on retrouve un Fitz empêtré dans de nouvelles intrigues  ( pour ne pas changer ). Car, même plus âgé, plus aguerri, FitzChevalerie connu sous le pseudonyme de Tom Blaireau reste quand même un grand naïf. Il est toujours le dernier à comprendre qu’il s’est fait berner ou mener par le bout du nez, que ce soit par sa famille, ses amis, la Couronne, le maître-espion Umbre ou des personnes moins bien intentionnées. Mais on ne lui en veut pas à Fitz, c’est ce qui fait son charme, après tout. On a parfois envie de le secouer, comme le fait son ami BienAimé/le Fou, revenu d’une situation périlleuse….pour l’embarquer dans une mission qui s’annonce encore plus hasardeuse !
Ce tome « En quête de vengeance » n’est pas l’un des plus palpitants pour ce qui est de l’action. Il est intéressant parce qu’il ravive tous les doutes de Fitz – et il ré-injecte aussi une bonne dose de nostalgie pour tous les fans de Hobb.
Car on peut dire ce qu’on veut de Robin Hobb, qu’elle fait des séries qui s’étirent un peu trop (parfois, la faute au découpage français, aussi), qu’elle donne dans la facilité ou je ne sais quoi encore, il reste qu’elle sait tenir en haleine ses lecteurs et lectrices – ce qu’elle fait très bien dans ce tome. On passe un moment à retourner au château de Castelcerf où Fitz a grandi, on retrouve des personnages qui nous sont familiers. Les uns ont eu des enfants, les autres ont grandi, ont vieilli. On fait presque partie cette famille étendue, entre Ortie, le Clan d’Art, Kettricken, les Loinvoyant, les Vifiers, les enfants de Molly et de Burrich et tous les autres….

Oui, Hobb sait nous émouvoir comme jamais. Et nous préparer à la suite. Avec le Vif et l’Art. Deux magies sans pareil.

L'Assassin royal, Tome 16 : En quête de vengeance par Hobb

Résumé : FitzChevalerie et le Fou ont changé le cours de l’histoire. Puis leurs chemins se sont séparés. Le bâtard de sang royal s’est détourné de ses activités pour mener une existence paisible à Flétribois, quant à son fidèle compagnon, il n’en a plus entendu parler. Jusqu’à ce qu’il le retrouve, mutilé, au hasard d’une balade avec Abeille. Les graves problèmes de santé de son vieil ami et les intrigues à la cour font baisser la garde de Fitz alors que survient le pire : sa fille est enlevée. Le Fou, au crépuscule de sa vie, a laissé échapper des secrets qui pourraient bien conduire de pâles inconnus à user d’Abeille comme de leur prochaine arme. Mais une magie ancienne coule encore dans les veines de FitzChevalerie Loinvoyant et, bien que ses talents d’Assassin se soient amoindris avec le temps, ennemis comme amis vont apprendre qu’il reste toujours la vengeance à celui qui a tout perdu.

 

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L’automne en images et en musique – 16

Retour à la musique cette semaine avec un groupe qui connaît un beau succès en mélangeant chant traditionnel et sonorités metal, The Hu 

le titre qui les a fait connaître l’année dernière avec « Wolf totem « ( et qui m’a fait craquer^^) : 

Ils viennent d’Oulan-Bator, en Mongolie et utilisent des instruments traditionnels : morin khuur  qui est le violon à tête de cheval , le tovshuur, la guitare mongole , le tumur khuur, la guimbarde,  la basse et les tambours.  Le chant qu’on entend est le  khöömii, un chant de gorge diphonique (i.e une technique vocale permettant à une personne de produire un timbre vocal caractérisé par deux notes de fréquences différentes). Pas mal, non ? 

Musique traditionnelle mongole : 

The Hu

THE HU

Leur premier album The Gereg vient de sortir et après avoir fait un carton sur Y.T, ils sont en tournée mondiale. Ils sont déjà venus  en France cette année et repasseront par Paris en 2020.

Et sur scène, ça donne ça :

 

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 » Le groupe est formé en 2016 à Oulan-Bator. Il comprend alors quatre membres, à savoir TS. Galbadrakh aka Gala  au Morin khuur et au chant principal khöömii, G. Nyamjantsan aka Jaya à la guimbarde et au chant khöömii a flûte, puis B.Enkhsaikhan  aka Enkush au Morin Khuur et enfin N.Temuulen aka Temka à la guitare mongole »

Sur scène

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Je trouve ce mélange vraiment intéressant, pas vous ?

Premières lignes #6 octobre

Il est assez facile de reconnaître le roman simplement en lisant ses premières lignes, cette semaine :

« Lyra et son daemon traversèrent le Réfectoire où grandissait l’obscurité, en prenant bien soin de rester hors de vue des cuisines. Les trois longues tables qui occupaient toute la longueur du Réfectoire étaient déjà dressées, l’argenterie et les verres réfléchissaient la lumière déclinante, et les longs bancs étaient tirés, prêts à accueillir les convives. « 

À la Croisée des Mondes, tome 1 : Les Royaumes du Nord par Pullman

A la croisée des mondes (His dark materials, en VO) est une oeuvre que j’ai lue il y a 10/12 ans et que j’avais alors particulièrement appréciée.

J’ai relu les tomes 1 et 2 pour les besoins du HMSFFF challenge (thème du mois de septembre : la littérature jeunesse ). Même si j’ai un sérieux bémol à apporter au sujet de ce classement : si la trilogie de Pullman se lit très bien, les thèmes abordés ne sont pas simples. Clairement, ce n’est pas de la littérature « enfantine ». J’entends même pas mal d’adultes qui ont lu A la croisée des mondes assez jeunes (au collège, par ex.) et qui n’ont pas compris grand chose. Les romans de Pullman ne se contentent pas brosser les aventures de Lyra parmi des ours en armure et des sorcières mystérieuses au milieu de gitans lancés dans le grand nord.
C’est bien plus que cela.
Bien sûr, on peut se contenter de ce niveau de lecture – comme on peut se satisfaire du film qui, malgré plusieurs erreurs, n’est pas à jeter à la poubelle . Il souffre en particulier d’un casting discutable (Daniel Craig et Nicole Kidman en Lord Asriel et Marisa Coulter, mais qui a eu cette idée absurde ? ). 

L’adaptation TV arrive bientôt … à voir…

De même, je ne vois pas l’intérêt de comparer La croisée des mondes à Harry Potter. Hormis le fait que les deux séries sont sorties à la fin des années 90 (95 à 2000 pour celle de Pullman, 97 à 2007 pour celle de Rowling) et qu’elles sont classées en littérature jeunesse, il y a peu de lien entre elles et les thèmes abordés sont résolument différents (religion, Paradis Perdu, humanisme, science, etc… dans la Croisée des mondes). Il est plus intéressant de faire une étude comparée du Monde de Narnia de CS Lewis avec La croisée des mondes. 

Ce que je peux dire après m’être replongée dans ce premier tome, c’est que la lecture est toujours aussi fascinante. Pour ceux et celles qui l’auraient encore dans leur PAL et qui hésiteraient, foncez !

 

Résumé : Ce n’était pas une vie ordinaire pour une jeune fille de onze ans : Lyra vivait, en compagnie de son dæmon Pantalaimon, parmi les Érudits du Jordan Collège, passant ses journées à courir dans les rues d’Oxford à la recherche éperdue d’aventures. Mais sa vie bascule le jour où elle entend parler d’une extraordinaire particule. D’une taille microscopique, la Poussière – que l’on trouve uniquement dans les vastes étendues glacées des Royaumes du Nord – est censée posséder le pouvoir de briser les frontières entre les mondes, un pouvoir qui suscite effroi et convoitises… Jetée au cœur d’un terrible conflit, Lyra sera forcée d’accorder sa confiance aux gitans et à de terribles ours en armure. Et, lors de son périlleux voyage vers le Nord, elle devra découvrir pourquoi son propre destin semble étroitement lié à cette bataille sans merci où s’opposent des forces que nul ne l’avait préparée à affronter.

 

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L ’automne en images et en musique – 15

Place à la peinture avec un artiste américain Henry Ossawa Tanner:

1859-1937

Tanner passa la majeure partie de sa carrière en France mais il eut un égal succès aux États-Unis, où ses œuvres étaient connues et appréciées ; il peut donc, à bon droit, être considéré comme un peintre américain. Élevé à Philadelphie, où son père était évêque méthodiste, il étudia avec Eakins à la Pennsylvania Academy of Fine Arts (1880-1882), travailla un temps comme illustrateur de revues, dessinateur, photographe avant de se rendre en France, en 1891. Il fut l’élève de Jean-Paul Laurens à l’Académie Julian, commença dans la peinture de genre mais se tourna bientôt vers les scènes religieuses, qui allaient le faire connaître et lui valoir un succès constant durant toute sa carrière.
 Il y reçut les honneurs, et fut de ce fait le premier artiste afro-américain à connaître une carrière internationale. Il devint ainsi une figure importante de l’histoire de l’émancipation afro-américaine.

Il est enterré au cimetière de Sceaux 

 

 

Henry Ossawa Tanner, The Banjo Lesson, 1893, oil on canvas, 49 × 35.5 inches
/ 124.5 × 90.2 cm (Hampton University Museum, Hampton, VA)

 

Henry Ossawa Tanner, The Thankful Poor, 1894, oil on canvas, 90.3 x 112.5 cm / 35 1/2 x 44 1/4 inches (collection of William and Camille Cosby)

 

 

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