Alphabet musical – H

 

En musique et avec la lettre H – comme : 

Heart – et comme de Heart, on ne retient que le gros hit « Barracuda », je vais mettre ici un autre titre  » Bebe le strange »

Suite avec du rock chevelu énergique ( et voilà la naissance du glam metal) – Hanoi Rocks . Le groupe a connu une courte carrière, ou plutôt une carrière écourtée, à cause d’un tragique accident de voiture qui coûta la vie au batteur. Le conducteur de la voiture était ivre. Il s’appelait Vince Neil (il s’appelle toujours, d’ailleurs) et c’est le chanteur de Mötley Crue.  Cette anecdote m’avait largement dégoûtée du Crue, à l’époque  (dont je n’appréciais déjà pas l’attitude, ni le comportement envers les femmes).

Un classique de blues pour continuer ; un classique tout court, créé par un grand guitariste John Lee Hooker 

Un classique du punk, maintenant. Et du punk rock américain, pour changer. Richard Hell est chanteur, compositeur mais aussi écrivain et poète. En 76, il signe « Blank generation »  La chanson inspirera les Pistols pour « Pretty vacant » et les Stray Cats pour « Stray cat strut » (bon, on ne parlera pas de plagiat mais….hum hum, écoutez « Stray cat strut » juste après). 

Un classique, tout court encore. Un très grand guitariste. Jimi Hendrix, avec The wind cries Mary sûrement parmi les plus belles chansons de tous les temps.

Le truc bizarre des années 80 : Haysi Fantayzee, de la new wave sautillante ( j’adorais leurs fringues aussi ).

Pour finir, mes chouchous de ces deux dernières années, the Hu , le groupe que je ne verrais pas au Hellfest. Ils sont en ce moment coincés en Australie à cause de la pandémie et ne peuvent pas rentrer en Mongolie, les frontières étant fermées.
Voilà une version live avec Lzzy Hale de Halestorm de leur titre « Song of women« . Le résultat est magnifique (on espère une version studio) :

L’alphabet musical sur YouTube 

Premières lignes – 26 avril

Je ne sais pas si c’est l’effet « confinement » mais j’en profite pour relire ….au lieu de m’attaquer aux livres que je n’ai pas encore lus ! ( il y en a quelques uns comme ça, sur mes étagères ) Et donc, cette semaine, voilà pour mes Premières Lignes : 

« Elisabeth avait cinquante-sept ans quand elle vit San Francisco pour la première fois.
Tandis que la limousine quittait le labyrinthe de béton de l’aéroport, elle jeta par la vitre un coup d’oeil à la pluie qui tombait et poussa un soupir pour pester contre ce temps exécrable.
— Je sais, dit le prince comme s’il lisait dans ses pensée. Mais il paraît que le ciel va s’éclaircir dans la journée. (….)
Au premier carrefour, la limousine ralentit solennellement et Philip lui fit signe du menton :
— Regardez là-bas, ma chère : vos premiers admirateurs !
Elle tourna la tête et fit un geste à une cinquantaine de personnes rassemblées au coin de la rue. Elles agitèrent les mains avec enthousiasme en brandissant une banderole en cuir noir où les mots « God save The Queen » avaient été inscrits en rivets argentés. Ce n’est que lorsqu’elle les entendit pousser des hourras qu’elle se rendit compte que c’étaient tous des hommes.
Philip grimaça un sourire désabusé :
— Qu’y a-t’il ? demanda-t’elle.
— Des homosexuels.
— Où cela ?
Mais là, ma chère ! Sous la banderole.
Elle se retourna et vit qu’ils étaient regroupés devant un bâtiment appelé l’Arena. 
— Ne dites pas de bêtises ! le corrigea-t’elle. Il est évident que ce sont des sportifs…

Voilà le ton des Chroniques de San Francisco dans lesquelles je me replonge. J’en suis au quatrième tome parce que ça se lit vite et bien. Comme je les connais assez bien ( je n’en suis pas non plus à ma première re-lecture ) mais qu’il y a toujours des petits détails que j’avais oubliés entre-temps, je savoure à la fois l’humour, le développement des personnages, la tendresse et ….mince, que d »émotion !
C’est aussi l’occasion de se plonger dans l’ambiance des années 80 avec ce tome – les années Reagan ( les années Mitterrand chez nous ), la fameuse « guerre des étoiles » (pas le film ) et le SIDA.
Dans ce tome, l’action se déplace aussi en Angleterre, ce qui redonne une autre dynamique aux Chroniques (des chroniques qui ressemblent de plus en plus au format du roman, d’ailleurs).
Armistead Maupin parle ici d’amour, d’enfants, de stérilité, de deuil, d’amitié, de réussite professionnelle, et même de la reine d’Angleterre, et tout cela sur le même ton léger. Presque.
Les Chroniques, comment dire…. il fait partie des livres qu’il faut avoir lu au moins une fois dans sa vie !

Chroniques de San Francisco, tome 4 : Babycakes par Maupin

Résumé : Début des années quatre-vingt, Reagan dirige l’Amérique, hésitant entre conservatisme pur et dur et saut en avant technologique. Les Yuppies dopés sont des acharnés du travail, les gays californiens sont à la pointe du combat pour l’évolution des mœurs et des mentalités et le sida commence à frapper les corps et les esprits. C’est ce moment que choisit la reine Elisabeth II pour effectuer sa première visite à San Francisco. Un symbole à elle seule, la reine d’Angleterre ! Représentante de la vieille Europe, des traditions et d’un certain art de vivre. En décalage complet avec celui des avant-gardistes californiens. Mais c’est justement ce côté kitsch qui leur plaît. Son côté bonne vieille mamie ! Comme Mme Madrigal, la logeuse de la petite résidence communautaire de Barbary Lane.

Les autres premières lignes sont chez :

• Au baz’art des mots
• Light & Smell
• Les livres de Rose
• Le monde enchanté de mes lectures
• Cœur d’encre
• Les tribulations de Coco
• La Voleuse de Marque-pages
• Vie quotidienne de Flaure
• Ladiescolocblog
• Selene raconte
• La Pomme qui rougit
• La Booktillaise
• Les lectures d’Emy
• Songes d’une Walkyrie
• Aliehobbies
• Ma petite médiathèque
• Prête-moi ta plume
• L’écume des mots
• Pousse de ginkgo
• Ju lit les mots
• À vos crimes
• L’univers de Poupette
• Le parfum des mots
• Les lectures d’Ironnette

Alphabet musical – G

En musique toujours avec la lettre G comme :

Marvin Gaye – tout le monde cite « Sexual healing« , c’est pour ça que je vais mettre cette version de « What’s going on » (il y a un passage où Marvin s’adresse à son propre père, celui qui le battait étant enfant et qui, en 1984, lui tire dessus mettant fin à sa vie). 

Grandmaster Flash & the Furious five« The message » – j’adore ce morceau, j’adore le rap à l’ancienne tout simplement.

Des groupes entièrement féminins, il n’y en a pas eu tant que ça. The Go Go’s ont eu leur heure de gloire – « We got the beat »

Retour en France. Dans le sillage des Bérurier Noir et autres Wampas, il y avait…les Garçons Bouchers. Cette année-là, le tube de l’été était une certaine Lambada. Les Garçons Bouchers en ont fait une version bien à eux :

On va rester dans la mouvance punk mais plus blues avec the Gun Club,et un leader charismatique (Jeffrey Lee Pierce) décédé très tôt :

Un groupe récent cette fois et qui a la particularité de sonner comme Led Zeppelin. Greta Van Fleet a une énergie percutante et peu importe le reste :

Et pour finir et ne pas oublier l’Asie, Girls’ Generation (So Nyeo Shi Dae – en coréen) l’un des groupes féminins de Kpop les plus emblématiques de ces (10)dernières années :

Le printemps de l’art – 20

Cette semaine, retour à l’Art Nouveau avec Walter Crane

Walter Crane ( à Liverpool – ) est un artiste majeur anglais. Il fut également théoricien, écrivain, et socialiste convaincu. C’est l’un des principaux acteurs du mouvement artistique des Arts & Crafts. D’abord connu comme illustrateur, puis fervent promoteur des arts décoratifs, il a exercé son art dans de nombreux domaines: l’illustration, la peinture, la céramique, le papier peint, la tapisserie, etc.
En tant que socialiste, il écrit (The Claims of Decorative Art, 1892) et illustre de nombreux pamphlets et essais (Cartoons for the Cause. A Souvenir of the International Socialist Workers and Trade Union Congress 1886-1896, 1896), participe à des réunions (il rejoint la Fabian Society en 1885) et des manifestations (il assiste au Bloody Sunday de 1887). Surtout, il tente de promouvoir, avec William Morris et ses suiveurs, un modèle de vie artistique qui soit l’expression des idéaux socialistes.

Le prince grenouille

 

La Belle et la Bête

 

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Alphabet musical – F

Confinons, mais en musique ! 

F – comme :
Fanny   – groupe américain complètement oublié et c’est dommage car : dans les années 1970, c’est le 3ème groupe  entièrement féminin,  à signer avec une major (après Goldie and the Gingerbreads et The Pleasure Seekers), et le premier à publier un album chez une major (en 1970). 

Fountains of Wayne  – une groupe que j’aimais beaucoup dès leur 1er album (et pas pour le « Stacy’s mom » spécialement). hélas, l’un de leurs fondateurs vient de décéder du Coronavirus

Retour dans les années 70 avec Free : 

Une petite vieillerie 80’s maintenant : Falco – avec « Der Kommissar » (1982)

Pour finir, on change d’époque et d’univers – French Cowboy est un groupe nantais  (bah voyons! j’allais pas louper ça….) : 

Premières lignes – 20avril

 

Premières lignes de cette semaine !

 » Ce matin-là, Réséda se réveilla avec la certitude qu’un événement allait se produire.
Elle sauta de son matelas d’air pulsé. A l’autre bout de la cellule d’habitation, un signal sonore avertit Cyclamen que sa fille était réveillée.
Dans un angle de sa chambre se trouvait une salle de douche en forme de fleur. Réséda courut s’y enfermer. « 

J’ai fait un grand bond dans le temps avec cette lecture.
Pas parce que l’intrigue du roman est censée se dérouler sur notre Terre  en 6112  – d’où le titre : Cheyenne 6112 – mais parce que j’ai lu cette histoire quand je devais avoir entre 9 et 11 ans (bon, je ne me souviens pas exactement à 1 ou 2 ans près, on ne rigole pas!). 🤣

Ce roman fait partie de ceux qui m’ont fait aimer la SF. En fait, je l’aimais déjà : je lisais Yoko Tsuno en BD et les romans de Philippe Ebly (Les évadés du temps, par ex, en Bibliothèque verte — mais c’était moins fun que Yoko, les personnages principaux étaient toujours des garçons….).
Cheyenne 6112 date de 1974. C’est ce que je viens de lire dans la préface qui est contenue dans l’édition que j’ai (celle de 1984, en Folio Junior ).  Le roman est le fruit d’une collaboration entre l’écrivain William Camus, mi-iroquois mi-français, spécialiste des Amérindiens et Christian Grenier. 

Cheyennes 6112 par Camus

Ce qui est intéressant, c’est que les questions abordées sont plus qu’actuelles. On y parle d’une Terre dévastée par la pollution, où les animaux n’existent plus, où les humains ne peuvent plus vivre à l’air libre et sont réfugiés dans des villes-bulles, à l’abri de tous les microbes et autres attaques polluantes. Une chose est certaine : personne ne peut vivre à l’extérieur depuis plusieurs milliers d’années. (oui, c’est énorme). 
Sauf que… c’est faux.
Une tribu de Cheyennes a gardé son mode de vie et a été préservée. Ils ignorent ce que sont devenus les autres et ignorent que des êtres humains vivent non loin d’eux, protégés dans leurs bulles. Bon, c’est un peu léger sur ce point. On peut se demander comment ils ont pu survivre, et avec qui ils se sont reproduits pendant tout ce temps (bonjour la consanguinité !). 🤔

Bref, parfois c’est un peu bancal. Mais l’histoire reste intéressante. Les humains des bulles vont avoir à affronter un ennemi inconnu d’eux – qui nous est bien familier, surtout en ce moment : le virus de la grippe.
Personne ne développant plus d’anticorps, c’est une épidémie terrible qui commence…
Mais l’un des deux personnages principaux, Réséda une jeune fille, va se retrouver à l’extérieur et a peut-être une solution…
Je jure que je ne savais plus qu’il était question de maladie ou de virus dans ce roman ! ou alors, une part de mon cerveau s’en souvenait et m’a joué un tour ! C’est bien possible… Je ne faisais que ranger quelques livres quand j’ai eu envie de le relire. 🤨

En tout cas, c’est assez bien fait, malgré les failles dont je parlais plus haut. On suit les deux jeunes protagonistes, Réséda et Longues-Jambes, avec intérêt. Les autres personnages sont un peu plus en retrait.
Il y a aussi des détails amusants, pour nous qui le lisons en 2020 :  le « cassétriphone »  pour enregistrer des données – cela se lit à la manière des anciennes cassettes audio, et ainsi de suite. Le futur vu par le filtre des années 70.

C’est donc à la fois très pertinent et gentiment vintage.
Une (re)découverte sympa.

Résumé : En l’an 6112 les hommes vivent sous quatre bulles géantes disséminées sur le globe. Au-delà des bulles c’est un monde effrayant, hostile et inhabité, du moins le croient-ils …
     Pourtant, aux abords du Missouri, menacés par la forêt, les intempéries, la maladie et les tabous, une tribu de Cheyennes survit …
     Les hommes des bulles, eux, ne connaissent pas la guerre. Ils ont vaincu la maladie et ils pensent avoir acquis la sagesse.
     Pourtant un grain de sable va subitement dérégler cette belle mécanique et ce sera le chaos…
     Réséda et son père Cyclamen parviendront-ils à neutraliser le cataclysme ? Le genre humain est-il condamné à disparaître ?

Il existe une suite (que j’ai lue mais  je n’ai pas ) : Une squaw dans les étoiles

Cheyenne 6112 – Camus & Grenier – Folio Junior (1984 – réed. 1990)

— Prenez soin de vous,  lisez et gardez le moral   !❤️ — 

 

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Alphabet musical – E

 

Pour le « E », j’ai cherché parmi mes vieux 45 tours de quoi illustrer et…la récolte a été mince. Du coup, j’ai rangé mes disques.

 

E – comme Epica « Sancta Terra – live  » – et du metal symphonique 

David Essex America (1974)

E – comme Eminem « Lose yourself » (j’ai eu du mal à me décider)

Allez, un titre pour danser… (et en attendant de retourner danser, pour ma part ; le salon étant un peu petit ) :    Earth Wind and Fire  Boogie wonderland

Retour au début des années 2000 avec EvanescenceBring me to life. 

 

Le groupe que je ressors du grenier parce que je l’entendais pas mal étant ado. Ils étaient originaires de Nantes et les radios locales les aimaient bien dans les années 80. EV – Par le feu  

La playlist Alphabet musical est dispo sur Youtube 

Alphabet musical – D

Puisqu’il faut prendre notre mal en patience, un peu plus de musique, avec la lettre D
(et ici une BD qui rassemble pas mal d’informations sur la crise actuelle de façon synthétique et bien faite)

D – comme Dire Straits avec un très beau Telegraph road, live (je pourrais écouter ce titre en boucle ou presque).

D- forcément comme the Doors, un des groupes que j’adore – et The end  – live (en 70) :

Puisque je suis partie dans les années 70 juste au-dessus, je continue avec un autre très beau morceau : Child in time. C’est signé Deep Purple (live in Japan – 72). Il faut écouter ça au moins une fois dans sa vie ! 😍 ( j’ai fait une playlist pour ma fille, comme ça, avec des morceaux « à écouter une fois dans sa vie », elle y a trouvé des choses🤣 ) :

D – évidemment avec Depeche Mode ! Je ne fais pas partie des fans, mais il y a plein de morceaux que j’aime. Et les titres de Depeche Mode ont constitué mes premiers achats quand j’étais ado (avec Kate Bush). Personal Jesus :

Allez, on passe aux français. Un duo  avec une reprise de Gainsbourg  (les paroles👌) mais c’est surtout pour la voix et l’interprétation très sensible d’Etienne Daho accompagné par Dani que j’aime cette chanson : Daho+Dani Comme un boomerang. 

Pour finir, une chanson qui ne se démode pas et pointe du doigt ….ceux qui retournent leurs vestes. Mr. Jacques Dutronc avec l’Opportuniste :

 

J’allais oublier, honte sur moi ! Dolly, un groupe nantais qui a eu de jolis succès entre le milieu des années 90/début des années 2000. Je ne vais pas louper un groupe nantais, quand même 😉 :

 

 

La playlist est dispo sur YouTube

Premières lignes #12avril

Premières lignes de retour après une petite pause :

« A l’âge de sept ans, je découvris un lucion mort sur un banc à la lisière des bois qui formaient la limite de notre jardin et que le jardinier n’avait pas encore ramassé. Très excitée, je le ramenai pour le montrer à ma mère, mais lorsque j’arrivai, il s’était transformé e cendres dans mes mains. Maman poussa un cri de dégoût et m’envoya me laver. « 

Le premier tome des « Mémoires par Lady Tent » nous emmène à une époque très similaire à l’ère victorienne. La jeune Isabelle a une obsession, peu convenable pour une future dame de la haute société : les dragons.
Et nous voilà partis sur les traces de ces créatures mythiques à travers les souvenirs de Lady Trent.
Il y a déjà pas mal de temps que je voulais lire les Mémoires de Lady Trent mais je ne tombais jamais sur le premier tome à la bibliothèque. Ou alors, je n’arrivais pas à caser le livre dans mes lectures en cours. Les circonstances ont fait que j’ai le temps, cette fois.
Par contre, j’ai un peu l’impression de m’ennuyer ; peut-être est-ce dû aux longs passages descriptifs, très bien faits pourtant. J’avance sans peine car le style est agréable. Mais je ne trouve pas ça très passionnant. Il y a cependant des touches d’humour ; l’héroïne a un caractère bien trempé.
Il reste que que ça ne m’enthousiasme pas. Parfois, il ne faut pas chercher : le livre est bon mais ce n’est pas le livre qui vous convient et c’est tout. Je crois que c’est ce qui est en train de se passer.
J’ai donc envie de dire : allez-y, lisez-le mais ce n’est pas du tout un coup de coeur pour ma part même si je n’y vois pas de défauts.

Mémoires de Lady Trent, tome 1 : Une histoire naturelle des dragons par Brennan

 

Résumé :« Soyez avertis, cher lecteur : les volumes de cette série contiendront des montagnes gelées, des marais fétides, des étrangers hostiles, des compatriotes hostiles et à l’occasion des membres de ma famille hostiles, de mauvaises décisions, des mésaventures géographiques, des maladies dépourvues d’attrait romantique et une abondance de boue. Vous poursuivrez votre lecture à vos risques et périls. »

Les mémoires de lady Trent, mises en scène par Marie Brennan, racontent la vie et les recherches d’Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue et désormais vieille dame, dont l’esprit et le style empreints d’humour s’avèrent sans pitié pour les imbéciles. Dans ce premier volume, Isabelle, petite fille puis jeune femme, brave les conventions de sa classe et de son temps pour satisfaire sa curiosité scientifique et accompagner son mari lors d’une expédition à la recherche des dragons de Vystranie…

Une histoire naturelle des dragons: Mémoires, par Lady Trent, T1 (Mémoires de Lady Trent)
de Marie Brennan(Auteur), Sylvie Denis(Traduction) – Editions l’Atalante

— Prenez soin de vous,  lisez  !❤️ — 

 

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