Premières lignes – 30 juin

En retard encore, pour mes premières lignes. Les voilà tout de suite :

« Gemmen Effrida s’agenouilla sur les dalles froides du temple, parmi ses compagnes Robes Grises, qui chantaient les louanges de la Déesse et contemplaient le Coeur de la Puissance, représentation matérielle de la Déesse Radieuse, centre efficace de tout culte rendu en ce lieu. Elle se sentait autant chez elle dans le Grand Temple de Merina qu’en tout autre endroit de la terre et n’éprouva aucune difficulté à se plonger dans la transe-prière. « 

« Tigre, feu et flamme, voilà un titre étrange pour ce roman de fantasy signé par trois grandes autrices du genre  : Marion Zimmer Bradley ( Ténébreuse ; les Dames du lac)  Mercedes Lackey (Les Hérauts de Valdemar) et Andre Norton ( Les aventuriers du monde magique). En fait,  « Tiger, tiger, burning bright » se réfère à un célèbre poème de William Blake  » The tyger » .

Ici, la Maison du tigre est la maison régnante de Mérina, centrée autour de trois personnages féminins  qui vont lutter contre un envahisseur, un empereur aidé par un terrible nécromancien. Pour cela, le trio va s’appuyer sur les pouvoirs de la magie et de la religion. Elles trouveront  un allié  chez le propre fils de l’empereur …

Si le thème est classique, les personnages et les points de vue sont assez bien définis. Par contre, il ne faut pas s’attendre à être surprise :  la plupart des « rebondissements »  sont prévisibles  à l’avance. Ceci dit, le roman se lit assez bien avec un gros bémol à cause des points de suspension placés étrangement un peu partout (et n’importe comment). De même, certaines tournures de phrases paraissent assez bancales parfois (la traduction  peut-être ?).
Mais on ne s’ennuie pas ; il y a de l’action.
Je suis toujours un peu mitigée à propos des collaborations de Bradley avec d’autres collègues ; il en ressort rarement des oeuvres bien faites — comme pour  le Cycle du Trillium co-écrits par Bradley et Norton (entre autres), une saga bien inégale, par ex.

Tigre, feu et flamme par Zimmer Bradley

 

Résumé :   Merina est gouvernée avec sagesse par les trois femmes de la Maison du Tigre : la reine Lydana ; Adèle sa mère ; et Shelyra, sa nièce. A part quelques conflits avec contrebandiers et pirates, la cité n’a jamais connu la violence. Aussi, devant l’armée toujours victorieuse d’un empereur avide de conquêtes, Lydana décide de se soumettre. Hélas, malgré de belles promesses, la ville est bientôt livrée aux mercenaires d’un général sadique et aux serviteurs d’un mage monstrueux qui veut s’emparer des trois souveraines… Amours, combats, suspense et sortilèges : Merina va devenir le théâtre d’une guerre sans merci entre Lumières et Ténébres.

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Alphabet musical — O

J’ai failli l’oublier ; ça doit être les changements de température. Mais voilà donc le O.

Un peu de punk français :

OTH « Le rap des rapetou » 

Oberkampf « Couleur sur Paris » 

Opium du peuple  » Punkrockollection » 
(une version punk du titre de Voulzy, excellent )

Du hard rock français : Océan « Dégage »

Orchestre National de Barbès «  Dor biha »  ( une chanson populaire qui raconte comment un vieil homme essaie de se marier avec une belle femme riche  – « tourne autour d’elle, le vieux » dit le refrain )

Orchestral Manoeuvres in the Dark – « Souvenir »

Oxmo Puccino « Peur noire » 

En portugais maintenant :

Orquestrada « Oxala te veja » 

Pour finir, Omnia ( qui chante dans un tas de langues)  » Fee ra huri « 

Pour la playlist Youtube c’est toujours ici 
Pour Spotify c’est là 

L’été de l’art : nouvelle et quatrième saison – des illustrations

L’été de l’art, 4ème saison ! Tous les articles sont disponibles ( sauf problème ne dépendant pas de moi ^^) en suivant ce lien : l’été de l’art 

J’ai trouvé des illustrations que je ne connaissais pas ces jours-ci, par l’intermédiaire d’une personne que je suis sur Flickr ( là où je mets en ligne mes photos pour mon autre blog : mon Flickr est ici ). Elles proviennent  d’un journal humoristique français de la fin du XIXème/début du XXème : Le Rire  En allant me renseigner, j’ai appris que bon nombre d’artistes (Toulouse-Lautrec, par ex.)  de caricaturistes (comme Daumier ) ont collaboré à ce journal qui paraissait tous les samedis depuis 1894 et qui s’est vraiment arrêté en … 1971 (Sempé en ayant fait partie ).
C’est intéressant à voir même s’il y a un paquet de choses qui ne font absolument pas rire ( le sexisme, le racisme, j’en passe😟 ….). Les illustrations sont parfois très belles, même celles des pubs, comme souvent à cette période.

Voilà donc quelques images qui viennent principâlement de  Gallica, mon ami, comme site  –  on peut feuilleter l’hebdo ici)

Un numéro de 1895 : 

On se moque pas mal des députés qui ronflent à l’Assemblée nationale ( tiens, les choses ne changent pas !) :

1899 – en période de carnaval 

Des publicités de cette année-là :

Ici, un phonographe !

1913

1919

Le rire 1919 no 3  ill  la meilleure preuvé

Le rire 1919 no 3  ill  x

Le rire 1919 no 4 ill  tromper

Le rire 1919 no 4 ill la mort de Poivrot

 

Le rire 1919 no 4 ill un comble

 

Les jeux de mots  !

Le rire 1919 no 5  ill  l évidence

Réclames

Le rire 1919  adv  Gelle   Freres

 

Le rire 1919  adv  glycomiel

Le rire 1919  adv Gueldy

1920

 

 

Premières lignes – 22 juin

Premières lignes tout de suite :

« Samedi 6 avril
Je les rencontre une fois par semaine dans une rue en pente. Je les ramène chez moi et je les regarde vivre. Apparemment, ce sont des fleurs. Apparemment. Les choses ne sont jamais seulement des choses. « 

Dans ce livre, il  est beaucoup question de beauté, d’amour, de lumière, de Dieu, de vie et de  mort. De fleurs aussi.  La femme aimée, la « Plus que vive »,  est présente plus que jamais. Son absence est omniprésente. Il y est aussi question de musique (Mozart et Bach qui accompagnent l’auteur), de livres lus (de la poésie avec Höderlin ; les livres de Jünger,Bernanos et …Thérèse d’Avila — l’auteur est croyant ). Et d’écriture, bien sûr :

« Je me suis fait écrivain ou plus exactement je me suis laissé faire écrivain pour disposer d’un temps pur, vidé de toute occasion sérieuse. »

Tout à coup, en plein centre,  à la date du 4 septembre, on trouve un long paragraphe, un  autoportrait tracé  en moins de cent lignes, étonnant. avec un radiateur.  L’auteur change de ton, s’adresse aux lecteurs. C’est une vraie cassure dans ce journal au fil des jours aux phrases qui paraissent simples mais qui me semblent surtout bien pensées, ciselées. L’autoportrait accroche l’attention. Puis le discours intérieur que nous livre l’écrivain reprend, comme un chant, presque hypnotique. On se laisse bercer. Parfois, il y a ces phrases qui surprennent, saisissent le lecteur ou simplement l’envoûtent :

 » Ces gens qui font la roue à la télévision, experts en économie ou animateurs de variétés, accomplissent la même besogne. On leur a confié le soin de nourrir l’imaginaire et la pensée d’un peuple. Ils le font maigrir et l’insultent.  (…)  Car il en va des sociétés comme des individus : le réel est toujours du côté du réfractaire, du fugitif, du résistant, de tout ce qu’on cherche à calmer, ordonner faire taire et qui revient quand même, et qui revient encore , et qui revient sans cesse — incorrigible. L’écriture est de ce côté- là. Tout ce qui s’entête à vivre est de ce coté-là. »

Ou simplement :

 » L »ombre est venue. En été, elle descend des arbres et glisse sur les épaules. En hiver, elle monte de la terre, rentre dans le corps par les pieds. « 

Ou encore :

« Vouloir plaire — c’est mettre sa vie dans la dépendance de ceux à qui l’on veut plaire et de cette part en eux, infantile, qui veut être sans fin être comblée. « 

C’est un livre qui m’a permis de faire une pause alors que j’essaie de terminer une autre lecture qui s’essouffle (mais j’aimerais en venir à bout). Lire Bobin, c’est s’accorder une grande respiration, une bouffée d’air.

Autoportrait au radiateur par Bobin

Résumé : « A la question toujours encombrante : qu’est-ce que tu écris en ce moment, je réponds que j’écris sur des fleurs, et qu’un autre jour je choisirai un sujet encore plus mince, plus humble si possible. Une tasse de café noir. Les aventures d’une feuille de cerisier. Mais pour l’heure, j’ai déjà beaucoup à voir : neuf tulipes pouffant de rire dans un vase transparent. Je regarde leur tremblement sous les ailes du temps qui passe. Elles ont une manière rayonnante d’être sans défense, et j’écris cette phrase sous leur dictée : « Ce qui fait événement, c’est ce qui est vivant, et ce qui est vivant, c’est ce qui ne se protège pas de sa perte. » »

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Le printemps de l’art – 26

Dernier article de la saison, avec de l’art Nouveau ( oui, je sais, je n’ai pas résisté 😆)

Manuel Orazi est un peintre, illustrateur, affichiste français (1860 – 1934).

Salomé – Oscar Wilde 

 

Les fleurs du mal – Baudelaire 

— j’ai bien rigolé en feuilletant l’exemplaire des Fleurs du Mal illustré par Orazi : il a dessiné des femmes nues partout ou alors des champignons en forme de phallus ( le lien avec les poèmes ? 🤔). Je n’avais jamais vu les poèmes de Baudelaire comme ça ! 🤣Il s’est bien amusé, visiblement. (le lien sur Gallica si vous avez envie de regarder – il faut faire défiler les pages, ensuite ) 

Affiches 

La Maison moderne, 2 rue de la Paix et 2 rue des Petits-Champs, l' habitation, l' ameublement et la parure au XXe siècle : [affiche] / Orazi

 

Théodora.Théatre de la Porte Saint-Martin, drame en 5 actes et huit tableaux... [avec Sarah Bernhardt] : [affiche] / Orazi ; Aug. F. Gorguet

Académie Nationale de Musique... Thaïs. Comédie lyrique en trois actes et sept tableaux de Mr Louis Gallet d'après le roman de Mr Anatole France. Musique J. Massenet : [affiche] / lithographie d'Orazi

 

Premières lignes – 16 juin

Pour ces premières lignes, j’ai choisi de relire un livre ( j’en parle juste après ) :

 » C’était le matin et l’or d’un soleil tout neuf tremblait sur les rides d’une mer paisible.
A une encablure du rivage, le bateau de pêche, relevant ses filets, invitait au petit déjeuner, et son appel transmis dans les airs attira mille goélands virevoltant et se disputant les débris de poisson.

Une nouvelle journée de labeur commençait ainsi. « 

Ce livre n’est pas un roman. Il s’agit plutôt d’un conte initiatique ou philosophique, c’est selon. Il raconte en trois parties l’histoire d’un goéland sous une forme allégorique ( et même pas 100 pages ) en quête de liberté, de l’absolu  — et de la façon de repousser ses limites, en général.
C’est Jonathan Livingston le Goéland, bien sûr.
Je pense que je l’ai lu pour la première fois quand j’avais 12 ou 13 ans ( mon édition chez Flammarion Castor poche  date de 1980, ça correspond tout à fait 😄 ). Le récit l’avait fait une grande impression à cette époque.
Apprendre à voler pour enfin  être libre, c’est ce que cherche ce goéland pas comme les autres. Au delà de ça, l’auteur sous-entend : ne plus avoir peur, dépasser ses limites, ne plus se contenter  d’une existence d’ennui mais  être soi- même…
Il y a encore d’autres « petites sagesses » éparpillées dans ce livre ( qui sert souvent aux pros du développement personnel, apparemment).
Franchement, un tel classique, ce serait dommage de passer à côté, surtout qu’il se lit bien rapidement, sans être casse-tête.

A noter : 
La version racontée par Richard Harris (c’est très compréhensible )

Il y a eu un film en 1973 (avec musique de Neil Diamond) :

Résumé :
« Jonathan Livingston n’est pas un goéland comme les autres. Sa seule passion : voler toujours plus haut et plus vite pour être libre.
Mais cet original qui ne se contente pas de voler pour se nourrir ne plaît guère à la communauté des goélands. Condamné à l’exil, seul, Jonathan poursuit ses découvertes, sans peur, sans colère. Il est seulement triste de ne pouvoir les partager, jusqu’au jour où il rencontre des amis… Jonathan apprend alors à briser les chaînes qui emprisonnent son corps et ses pensées. »

 de Richard Bach

TraductionPierre Clostermann

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Alphabet musical – N

J’avais beaucoup de M, j’ai un peu moins de N — mais j’ai dû en oublier un paquet, sûrement.

N – c’est une évidence, c’est : Nirvana (et j’ai eu beaucoup de mal à choisir  mais j’ai un faible pour le live unplugged ) « All apologies »

N- ça m’a fait penser à Nylon et donc à Edith Nylon, groupe punk français – « Johnny, Johnny » sur lequel Mick Jones du Clash fait les backing vocals, d’ailleurs.

Et on reste en France avec Noir Désir  « Tostaky » 

Français toujours, années 90 encore – un groupe qui existe toujours : No one is innoncent – et ce titre « La peau »

France – début des années 90 (décidément !) – Niagara sortait un titre décoiffant qui sonne toujours bien actuel (il faudrait simplement changer quelques news et encore…). Je peux témoigner que lorsqu’un DJ le passe de nos jours, il fait toujours bien bouger les gens… Le duo devenu rennais  — Muriel Moreno a grandi et a même fait sa scolarité à Nantes, en fait — avait ce petit truc en plus.
« J’ai vu »

N – en Allemagne, maintenant avec Nena – « 99 luftballoons « 

Mais je ne peux pas terminer sans glisser un petit NTM  ( 20 ans dans le 93, ça laisse des traces ) – justement :  » Seine Saint Denis style »  ( avec IAM, pour moi,  ce sont les meilleurs en rap/hip hop et je ne vois personne en France les égaler à l’heure actuelle — et surtout : pas d’autotune ! ). 

Playlist dispo sur Youtube et sur Spotify 

Premières lignes – 10 juin

Je suis en retard, en retard, pour les premières lignes de cette semaine ( on croirait entendre le Lapin d’Alice ) mais les voilà enfin :

« When I was born, the name for what I was did not exist. They called me nymph, assuming that I would be like my mother and aunts and thousand cousins. Least of the lesser goddesses, our powers were so modest they could scarcely ensure our eternities. We spoke to fish and nurtured flowers, coaxed drops from the clouds or salt from the waves. « 

Voilà un livre qui traînait bizarrement sur mes étagères depuis un an pile poil,  puisque  je l’ai acheté à Londres. Oui, bizarrement, parce que Circé est un personnage de la mythologie qui m’a toujours fascinée ( avec d’autres, comme Cassandre, par exemple). mais Circé est un mystère : c’est une magicienne, elle transforme les compagnons d’Ulysse en cochons et on ne sait pas pourquoi. Ni comment elle est devenue cette enchanteresse, toute seule sur son île.
C’est donc ce que Madeline Miller en écrivant cette version moderne de Circé nous raconte — entre autres. Elle nous livre le point de vue étonnant d’une fille d’Hélios, laissée de côté, mal aimée ( mais les dieux aiment-ils ? ), rebelle, punie et exilée.
On la suit dans des épisodes bien connus : Pasiphaé et la naissance du Minotaure ; Médée et Jason  — ou un peu moins : comment Scylla est devenue ce fameux monstre. J’en passe parce qu’on croise sans cesse des noms célèbres ( Prométhée, Hermès, Hélios bien sûr, Minos, Dédale et Icare, Pénélope, Télémaque….). Les personnages sont tellement bien caractérisés qu’on a l’impression de les voir évoluer sous nos yeux (je pense à Athéna ou à Ulysse).
Car, évidemment, il y a Ulysse ; avec l’histoire des hommes changés en cochons qui trouvent ici une explication judicieuse. (non, je ne vais rien révéler). Tout est très bien mené.

J’ai passé un très bon moment et comme je l’ai lu en version originale, j’ai particulièrement apprécié le style de l’autrice, vivant.  A noter qu’il y a une  bonne variété de vocabulaire ( je lis pourtant facilement en anglais, à peu près couramment,  sans avoir besoin du dictionnaire mais j’ai vraiment dû aller rechercher plusieurs termes ). Mis à part ce détail, le roman se lit de façon très fluide.

Oui, il faut lire Circé ;  le libraire de Londres était ravi quand j’ai acheté le livre. Il avait raison.

Circe: Miller, Madeline

 

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