Premières lignes – 31 août

 

Premières lignes ( un roman dont j’ai failli oublié de parler)

« Elle est déjà vieille pour faire ça.
Elle est vieille à 23 ans parce que les garçons à ses côtés en ont 17. Ils ont l’allure des jeunes qui jouent au rock. Des boutons d’acné rouge et blanc, quelques poils duveteux et des blousons de faux cuir, des jeans troués, des baskets blanches. Leur guitare et leur basse et leur batterie démesurément grandes. « 

C’est pour le rock, la référence à Debbie Harry et tout ce qui va avec que j’ai choisi ce roman, bien sûr. Il y est question d’un vieil écrivain qui, bien des années plus tôt, a rencontré et aimé Platine. Il était alors un jeune écrivain  qui traînait ses guêtres à New York. Il en a tiré un roman qui a eu un immense succès. Jean a même reçu le prix Goncourt. Bref, c’est une légende.
Aujourd’hui, il vit en reclus dans un ancien couvent. Il tombe sur Marie, une chanteuse blonde qui lui rappelle Platine. Elle veut une chanson, il veut écrire un livre. Commence ce qui pourrait être une histoire intéressante … Sauf que, malgré les retours en arrière dans les années soixante-dix, le Palace, le punk, son histoire d’amour avec Platine, rien n’est très passionnant. Et on s’y ennuie. Le présent avec Marie n’est guère mieux.
Pourtant, le style est là ; tout est réuni pour passer un bon moment littéraire et rock. Mais l’intrigue reste fade.

C’est dommage, je n’en suis pas ressortie convaincue.

Ou pour rester dans le thème, voilà ce que j’avais  à l’esprit : non pas Debbie Harry mais John Lydon répétant à l’infini  : «  We’re so pretty vacant (and  we don’t care) » 

( —  dans le même ordre d’idées, « Boredom » des Buzzcocks, autre groupe punk, même époque,  fait bien le job aussi — )

Platines par Decoin

Résumé : Jean, un écrivain âgé, vit retiré dans un ancien couvent, pas très loin de Paris. Un soir, revenu par le train, il s’arrête dans le bar PMU du village. Pour boire un verre. Pour être seul au milieu des autres. La vision d’une jeune femme blonde, chanteuse d’un groupe amateur, va réveiller le passé.

C’était en 1976. Le jeune romancier est alors en résidence d’écriture aux États-Unis et cherche à s’encanailler. Dans le couloir d’un bar, il croise Platine, rock star déjantée du New York underground. De cette furtive rencontre, il tire un livre qui paraît en 1978 et remporte le prix Goncourt. Quelques mois plus tard, elle accepte, contre toute attente, de jouer son propre rôle dans l’adaptation du roman qu’il doit réaliser lui-même. C’est le début de leur aventure, mais il demeure le petit  » Frenchie  » dans les vertiges de Manhattan. Et les histoires d’amour ont souvent une fin. Celle-ci le fracassera.

Accepter de voir Marie, la jeune chanteuse sans grand talent, à la même blondeur platinée, c’est courir le risque de remuer des souvenirs douloureux dont l’isolement est censé le protéger. C’est aussi s’ouvrir une chance : celle d’écrire à nouveau.

 

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Sergio Toppi, un maître de la BD

 

Sergio Toppi (1932- 2012) est un dessinateur et scénariste de BD (fumetto en italien).

Il a fait ses débuts dans l’animation puis il a travaillé régulièrement dans la presse enfantine italienne. Dans les années 70, il sera partie prenante de l’évolution de la bande dessinée transalpine. Il se fera particulièrement remarquer chez nous par sa participation à l’Histoire de France en BD, puis à la série Un Homme une Aventure.
Dans les années 80, Toppi va développer dans les plus grandes revues italiennes un style profondément original et novateur. Les éditions Mosquitoproposent en 1997, avec le Dossier Kokombo puis avec Ile Pacifique, de découvrir cette remarquable production. Entre 1998 et 2000 est paru le cycle des quatre albums du Collectionneur. Puis son oeuvre, Sharaz-De. (source)

Je cherchais où j’avais vu ses dessins pour la première fois, vu que je ne lisais pas Pilote, mais plutôt Pif Gadget (et apparemment, il n’y était pas publié). J’ai trouvé :  il a illustré une bonne partie de l’Histoire de France en bande-dessinées et La découverte du monde en bande dessinées qui étaient des BD dites « éducatives » (de vraies BD) mais surtout des prétextes à se gaver d’aventures pour les personnes de ma génération 😉

Les dessins l’ont vraiment marquée, et vu que je dessinais, donné envie de progresser, surtout à l’encre par la suite.

Du coup, voilà ce que ça donnait illustré par Toppi :

Sergio Toppi Girl Illustration par Sergio Toppi - Illustration

 

Sergio Toppi  (1932-2012)

Серджио Топпи | XX-XXIe | Sergio Toppi

Alphabet musical – T

Suite en T 

La playlist (toujours non-exhaustive) est dispo sur YouTube et sur Spotify 

 T. Rex « Get it on » 

Tai Phong (JJ Goldman avant sa carrière solo ) « Sister Jane » 

Taxi Girl – « Paris » (avec une balade dans le Paris des années 80 en prime)

Thin Lizzy « Boys are back in town »

Therapy ? « Misery »

Les Tueurs de la lune de miel  » Nationale 7″

The The « This is the day »

Tagada Jones « Nous avons la rage »

Et bien sûr, Trust « Antisocial »

Premières lignes – 23 août

Premières lignes 

 » Le roi se tenait , à la dérive, dans une flaque de lumière bleue. C’était l’acte IV du Roi Lear, un soir d’hiver à l’Elgin Theatre de Toronto. En début de soirée, pendant que les spectateurs entraient dans la salle, trois fillettes — versions enfantines des filles de Lear — avaient joué à se taper dans les mains sur le plateau, et elles revenaient maintenant sous forme d’hallucinations dans la scène de la folie. « 

Station Eleven par St. John  Mandel

J’ai sans doute eu une idée étrange en lisant le roman d‘Emily St John Mandel en ce moment  (mais j’avais déjà lu Cheyenne 6112 en avril et en plein confinement) puisqu’il y est question de pandémie et pas d’une petite : la grippe de Géorgie qui y sévit détruit en quelques temps 99 % de la population mondiale. De quoi faire basculer l’humanité dans un vrai monde d’après.
On va donc suivre plusieurs personnages (Arthur, Miranda, Kisten, Clark, Jeevan) avant que l’épidémie de grippe ne sévisse. On les retrouve à la fois pendant que la maladie s’installe et vingt ans plus tard, surtout au travers du point de vue de Kirsten, devenue comédienne itinérante. Car que reste-t’il  une fois que tout ou presque a disparu, l’électricité, internet, l’essence ? Et bien, l’art, la musique, un musée dans un ancien aéroport… Mais pourtant, les dangers rôdent.
Ce n’est pas un roman triste ou particulièrement anxiogène. C’est sombre, parfois, interrogateur, traversé de pensées pleines d’espoir, de visions d’un monde redevenant naturel et beau. C’est plutôt positif et les personnages sont bien dessinés et intéressants.
Bien sûr, il y a de forts échos avec la crise que nous traversons (vivons) actuellement.
Est-ce qu’il faut pour autant éviter de lire ce genre de romans pour autant ? J’ai envie de dire que cela dépend de la sensibilité de chacun.e. Celui-ci est tellement bine fait que ce serait dommage de s’en priver.
L’autrice a sorti un nouveau roman The Glass Hotel et a parlé des similarités de Station Eleven avec la crise actuelle . 

Résumé : Une pandémie foudroyante a décimé la civilisation. Une troupe d’acteurs et de musiciens nomadise entre de petites communautés de survivants pour leur jouer du Shakespeare. Ce répertoire classique en est venu à représenter l’espoir et l’humanité au milieu des étendues dépeuplées de l’Amérique du Nord.

Centré sur la pandémie mais s’étendant sur plusieurs décennies avant et après, Station Eleven entrelace les destinées de plusieurs personnages dont les existences ont été liées à celle d’un acteur connu, décédé sur scène la veille du cataclysme en jouant Le Roi Lear. Un mystérieux illustré, Station Eleven, étrangement prémonitoire, apparaît comme un fil conducteur entre eux…

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Sergeï Lodygin, le Beardsley russe – L’été de l’art

 

 Lodygin Sergeï Pavlovich (Saratov, 1893 – Moscou, 1961?) est un artiste et graphiste russe. On l’a souvent appelé le Beardsley russe

L’héritage créatif de S. Lodygin (comme il l’a toujours signé ou simplement S.L.) est peu connu du large public. Issu d’une ancienne famille noble, ayant reçu une bonne éducation (Institut des ingénieurs civils de Saint-Pétersbourg), le sommet de sa renommée créatrice a eu lieu dans les années 1910, quand il a collaboré avec succès avec un certain nombre de publicationsÀ l’époque soviétique, il travailla comme illustrateur à Saratov, Rostov-sur-le-Don et Moscou. À Saratov (années 1920), il a son propre studio graphique et travaille comme artiste de théâtre tout en participant à la conception de manifestations et de processions festives. En 1920,  il s’installe à Moscou, comme illustrateur.
Pour la maison d’édition « Khudozhestvennaya postcard » en 1915-1916, l’artiste a créé une série graphique assez inhabituelle de dessins (10 pièces) de figures féminines nues  dans un entourage fantastiquement exotique – avec des serpents, des papillons, des orchidées, des panthères, etc. Dans le graphisme russe, les cartes postales représentaient l’imitation la plus cohérente, du célèbre graphiste anglais  Beardsley, l’idole de la bohème artistique de Saint-Pétersbourg.

 

 

 

Premières lignes — 17 août

Premières lignes, sans tarder :

 » Lovelace occupait un corps depuis vingt-huit minutes et ça n’allait pas mieux qu’à la seconde où elle s’était éveillée dedans. Aucune raison valable n’expliquait cet état de fait. Rien ne dysfonctionnait ; rien n’était cassé. Tous ses fichiers s’étaient correctement transférés. Aucun scan système n’expliquait ce sentiment de malaise, mais il était réel, il lui rongeait les connexions. « 

Les voyageurs, tome 2 : Libration par Chambers

Libration (A Closed and Common Orbit) le tome 2 de la série Les Voyageurs de Becky Chambers, reprend l’histoire là où s’était terminé L’espace d’un an. Pourtant, on ne retrouve aucun autre membre de l’équipage du Voyageur, sauf l’IA, Lovelace qui vient d’intégrer un corps synthétique. On va s’intéresser également, et de très près, au personnage de Poivre, la mécano croisée dans le tome précédent. Poivre et « Lovelace » qui, très vite adopte le nom de Sidra, quittent le vaisseau et vont vivre — ou essayer de vivre — tranquillement parmi la multitude d’espèces que l’autrice nous a déjà décrites. Si le premier tome n’est pas indispensable pour suivre l’histoire, il est quand même conseillé, puisque tout l’univers imaginé par Chambers y est bien développé alors qu’ici, il n’est que résumé.
Cette fois, l’autrice se concentre sur deux personnages : celui de Lovey/Sidra, l’IA qui a bien du mal avec son « corps » et sa vision étriquée, et celui de Poivre dont on va connaître le passé assez sombre. Toutes deux connaissent un parcours dont l’horizon a été —  ou est — limité (d’où le titre original A Closed and Common Orbit ), pour des raisons différentes. Les interrogations sont diverses : qu’est-ce qui fait une personne consciente ? qui a le doit de la définir ? comment se forge-t’on une identité ? Si on rajoute l’exploration des émotions et des sensations ( de Poivre, dans son passé,  ou de Sidra, dans le présent ) avec la force des sentiments amicaux, ici, plus qu’amoureux, on obtient un roman sensible et intelligent qui ne brille pas par l’action mais par la finesse et l’originalité. C’est un genre de SF différent que je ne qualifierais pas de « trop gentil » comme j’ai pu le lire ici ou là. Au contraire : c’est une bouffée d’air pur. Et tant mieux, on n’a pas forcément envie de lire à longueur de temps  des scènes de batailles à gogo et des histoires de méchant.e.s qui se dézinguent…

Une bonne nouvelle : j’ai trouvé le tome 3 de la série en occasion. je vais pouvoir poursuivre ma lecture. Et je viens de lire que le tome 4 sortira en anglais en février 2021. En attendant, l’Atalante publie l’autre roman de Becky Chambers : « Apprendre si par bonheur » dans quelques jours.

 

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Margaret MacDonald, une artiste oubliée – L’été de l’art

 

Margaret MacDonald MacIntosh  (1864-1933) est une artiste britannique pas assez connue et pour cause : c’est son mari qui lui a fait de l’ombre, le fameux Charles Rennie MacIntosh . (un mari qui disait pourtant d’elle : son mari lui-même, qui lui écrivit  : « Margaret a du génie, je n’ai que du talent. »).
 Margaret Macdonald peint de  grands panneaux peints sur gesso  de style Art nouveau. Avec sa soeur Frances, et leurs maris, elle forme le groupe The Four

Margaret MacDonald Mackintosh

 

Margaret MacDonald Mackintosh

Margaret MacDonald Mackintosh

Oeuvre de Frances MacDonald :

Premières lignes – 11 août

 premières lignes d’un roman bien intéressant

 » Un vent démoniaque accueillit la pâle clarté du jour de furieux hurlements infernaux. Ce n’était pas vraiment l’aube, d’ailleurs, même si, quelque part au-dessus des nuages noirs bouillonnant, le soleil avait réussi à de nouveau se hisser dans les cieux, mais plutôt le crépuscule du Diable lui-même, cinglé d’embruns et de draperies de pluie à vous broyer et accompagné des assourdissants roulements du tonnerre, des beuglements du vent, du cliquetis incessant des drisses, le tout ponctué par le fracas mouillé des voiles déchirées, fasseyant à deux doigts de l’anéantissement. « 

L'option Excalibur par Weber

La scène d’introduction est claire : nous voilà en plein naufrage. Les navires anglais de la flotille rejoignant la France pour le service du roi Edouard III vont sombrer. Sir George Wincaster, son épouse Mathilda, son fils, des chevaliers, soldats et marins se préparent à mourir. Mais ils sont sauvé in extremis par …. un vaisseau extra-terrestre. A partir de cet instant, une étrange aventure commence pour Sir George : réduit à l’état de soldat-esclave, il doit mener des batailles incessantes sur des planètes pour le compte de son nouveau maître, un extra-terrestre particulièrement arrogant et avancé technologiquement qui ne manque pas de lui rappeler combien les humains du 14ème siècle sont primitifs. Mais Sir George aidé par Mathilda, une conseillère avisée, va peu à peu chercher à comprendre. Il va même recevoir de l’aide de personnes particulièrement inattendues.

Je connaissais David Weber pour sa série basée sur le personnage de Honor Harrington, aux éditions l’Atalante. J’avoue que je n’avais pas trop envie de me lancer dans les romans puisqu’il s’agit de SF militaire et que ce genre de SF et moi, hum… comment dire ça simplement… disons que nous ne sommes pas potes ? Mais le thème de « L’option Excalibur » m’a paru assez sympa. De plus, c’est un one shot. Je n’ai pas regretté mon choix, j’ai été captivée tout au long de ma lecture. L’histoire est bien faite et ne manque pas d’un certain humour.

L’option Excalibur – David Weber – L’Atalante Poche (la petite dentelle)

Voilà un roman qui va rejoindre le lChallenge de l’Imaginaire. 

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Alphabet musical – S

Après une petite pause, reprise avec la lettre S 

et y a du monde ! 

Déjà, ceux qui furent mes chouchous il y a longtemps (au collège) : the Stray Cats 

Egalement l’un de mes groupes favoris (et que j’ai eu la chance de voir sur scène, heureusement)  : the Stranglers

Pas de S sans les Sex Pistols (punk un jour, etc….)

Sans oublier Soundgarden (parce que Chris Cornell nous manque)

Changement de genre avec un groupe de metal français – qu’on appelait encore du hard rock. Tout est typique des années 80. Satan Jokers

Et dans la même veine, même époque, français et metal aussi, Sortilège 

Français, metal,  mais récent : Sidilarsen (le titre doit sûrement être l’hymne des années 2020….)

Français mais dans un autre style avec un titre plus ancien : Sinsemilia 

Français, chantant en anglaise, Skip the Use :

Espagnol, ska et punk, c’est Ska-P

Pour finir, un groupe méconnu que j’ai eu la chance de découvrir un jour et dont je ne me suis jamais lassée. Ils jouaient du rock psychédélique/garage/punk. The Slickee Boys

Plus de titres et d’artistes  dans la playlist YouTube

Les huiles de Jeremy Mann – L’été de l’art

 

Jeremy Mann   est un peintre américain né en 1979 connu pour ses paysages urbains sombres et changeants. Mann obtient un diplôme en peinture à l’université de l’Ohio, puis fréquente l’académie d’art de l’université de San Francisco.

« Tout en travaillant sur des panneaux en bois, Mann a souvent recours à la coloration de la surface, l’élimination de la peinture à l’aide de solvants ou encore l’application de larges marques avec un rouleau à encre. Mann s’inspire de la ville de San Francisco. » (source)

"SF17" - 48 x 48 in. - Oil on Panel - April 2019

 

"NYC in Dusty Blues" - 15 x 15 in. - Oil on Panel - March 2019

 

"The Metropolis" - 36 x 36 in. - Oil on Panel - 1/2019

 

 Empire - 42 x 84 inches - Oil on Panel - 7/2016

 

 Evening Storm on Market St. - 60 x 43 inches - Oil on Panel - 11/2014

A Passed Afternoon Storm - 12 x 12 inches - Oil on Panel - Mar-17

"Note in Blue no. 8" - 8 x 10 in. - Oil on Panel - May 2019

 

"Note in Blue no. 9" - 8 x 10 in. - Oil on Panel - May 2019

Repose in Red - 13 x 24 inches - Oil on Panel - Oct-16

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