La féérie d’Evelyn Stuart Hardy – L’été de l’art

 

Evelyn Stuart Hardy (1866-1935) est une illustratrice  anglaise. De son vraie nom Beatrice Evelyn Elizabeth Hardy, elle illustra surtout  des livres pour enfants, des contes de fées. Issue d’une famille d’artistes, son oeuvre la plus connue est « A Visit to Fairyland with Humpty Dumpty » (1898).

 

SIL33-097-01, 6/30/08, 3:15 PM, 8C, 5524x6187 (87+928), 100%, New Curve Sett, 1/40 s, R18.5, G6.5, B17.9

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Illustration for Jane Eyre by Charlotte Bronte by Evelyn Stuart Hardy

Hansel and Grethel by Evelyn Stuart Hardy

A Frog He Would A-Wooing Go  by Evelyn Stuart Hardy

The Old Woman who Rode on a Broom  by Evelyn Stuart Hardy

Amateurs with the Highland Bagpipes  by Evelyn Stuart Hardy

Le printemps de l’art — 35

 

Toni Demuro habite en Sardaigne où il illustre  des livres, des magazine et des journaux. Il a travaillé entre autres pour  Penguin Books, The Boston Globe, The Washington Post, et le Corriere della Sera.

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Des ours dans la maison

savane

 

over the mens

Quand je marche en foret

o que tem de mais lindo

le bidule

the tired lonely downside the boston globe

skin

 

 

L’automne en images et en musique – 30

Sir Lionel Lindsay (1874-1961), est un artiste australien, peintre, graveur, critique d’art.

He was the brother of Norman, Percy, Daryl and Ruby Lindsay and shared with his siblings an early obsession with drawing and printmaking. His art was the product of the great flowering of Australian ‘black & white’ art that developed around the turn of the twentieth century with such illustrated magazines as The Bulletin and The Lone Hand. Lindsay began making woodcuts and etchings but his preferred medium was the wood-engraving.  Among his voluminous art writing (mostly in journals) there are two noteworthy books – A consideration of the work of Ernest Moffit 1899, notable as the first monograph on an artist to be published in Australia , and Addled Art 1943, notorious as the most strident and bigoted attack on modern art ever to be produced in this country. Lindsay was a long-serving Trustee of the Art Gallery of New South Wales and was a great traveller, besotted from an early age with Spain and all things Spanish. He was knighted in 1941.

An image of A penny, noble senor by Lionel Lindsay

An image of The doctor's house, Windsor by Lionel Lindsay

Voilà aussi ce qui m’a attirée, les scènes avec les chats :

Lionel Lindsay (1874-1961) The Demon 1925 wood engraving 2/100

An image of Siesta by Lionel Lindsay

An image of Hornbill by Lionel Lindsay

Lionel Lindsay (1874-1961) Group of four etchings includingi) The Shanty on the Rise a/p 18 x 13cmii) The Bucking Brumby 26/75 11...

The Jester (self portrait)

Arts d’hiver – 2

Pour ce deuxième Arts d’hiver, voici un artiste qui a fait beaucoup d’illustrations représentant des animaux et surtout…des chats !

Je le connaissais grâce aux couvertures des romans de Lilian Jackson Braun aux éditions 10/18 : « Le chat qui…. » (les enquêtes de Jim Qwilleran et des deux siamois Koko et YomYom).

 

 

Louis Wain a une vie qui tourne rapidement au tragique :

« Louis Wain ( Londres – ) est un artiste anglais connu pour ses dessins représentant des animaux anthropomorphes, et en particulier des chats.

Aîné et seul fils d’une famille de 6 enfants, il naît à Londres. À l’âge de trente ans, sa plus jeune sœur est internée dans un asile. Les autres sœurs vivent avec leur mère pendant la durée de leur vie, .Wain est né avec une fente labiale et le médecin a donné à ses parents l’ordre qu’il ne devrait pas être envoyé à l’école

Il étudie à la West London School of Art et il y devient professeur. À la mort de son père, il doit subvenir aux besoins de la famille. À 23 ans, il épouse la gouvernante de ses sœurs qui est de dix ans plus âgée que lui. Peu de temps après, sa femme Emily tombe malade : elle souffre d’un cancer. Acette occasion que Louis apprend au chat d’Emily des tours pour la distraire.

En 1886, il publie dans The Illustrated London News sa première illustration de chats intitulé A Kittens Christmas Party (le Noël des chatons). Puis il collabore au magazine pour enfants Little Folks.

Sous le pseudonyme de George Henry Thompson, il va illustrer une série de livres Acclimatation ville . C’est cette série qui le fait connaître en France. Il s’agit d’une ville peuplée d’animaux qui se comportent comme des humains.

En 1907, il se rend à New York où il fournit des dessins à la presse. À son retour, il apprend le décès de sa mère. À cette époque, il commence à montrer des signes d’instabilité mentale : il souffre de schizophrénie. En 1924, il est interné et changera souvent d’hôpitaux jusqu’à sa mort. »

 

 

 

L’évolution de son art: certains pensent que c’est à cause de la maladie mentale mais rien ne le prouve. De toute façon, chaque forme d’art est unique et se doit d’être considérée comme telle. Peut-être Louis Wain s’est-il tourné vers l’abstraction dans sa recherche artistique :

Sendak illustre Blake #L’été de l’art- 9

Après Tolkien un autre auteur qui a illustré ses écrits. Non seulement les siens, mais aussi les poèmes de William Blake   

 

 

Maurice Sendak (June 10, 1928–May 8, 2012) would come to echo this belief — and yet he remains one of the best-loved and most influential children’s book authors and illustrators of all time, a patron saint of storytelling for young minds;

In 1967, when Sendak was thirty-nine and at the peak of his career, he received an unusual assignment that moved his heart unlike any other — a chance to finally pay homage to his great creative hero. It was small and noncommercial, but he took it: The London publisher The Bodley Head wanted to publish a Christmas keepsake commemorating the company’s 80th anniversary, featuring seven poems from Blake’sSongs of Innocence. For each of them, Sendak was asked to create a single, exquisite line drawing. The slim booklet, simply titled Poems from William Blake’s Songs of Innocence (public library), was published in a limited edition of 275 copies, none of which were for sale — instead, they were given away as holiday gifts to the authors and artists The Bodley Head represented, and to a handful of other friends of the press.

(Brain pickings)

 

 

 

 

 

 

Mes beaux livres

 

Suite à ceci – le très bel article d’Isa, sorcière des livres – j’ai fini par sortir quelques livres de ma/mes bibliothèques.

J’en ai quelques uns – pour certains, ils datent même de ma période « libraire » ; pour d’autres, ce sont des cadeaux.

Les beaux livres ont ceci de magique qu’ils paraissent surgir (massivement) chaque année aux alentours du mois de novembre.

En vérité, c’est souvent un enfer pour le libraire: – je m’explique:
– ils sont lourds (et, au cas où personne ne l’aurait noté, c’est  très souvent le/la libraire qui se charge des cartons – et non une tierce personne dans le genre costaud, musclé, etc..)
– ils sont chers (et tu as envie de commettre un meurtre si tu surprends un client en train de bouffer son sandwich en les ouvrant! pire: quand tu constates que le charmant client avec sa mallette est simplement en train de te piquer un tas de beaux livres et qu’il  a arraché un morceau de la couverture « parce que c’est comme ça que ça sonne…., non? l’antivol- avouera-t’il  » – non …)
– ils sont chiants pour les paquets-cadeaux (et vu qu’ils se vendent au moment des fêtes de fin d’année, amuse-toi ..)

Mais:  –  ils sont superbes  (tous les ans, c’est un ravissement) – ça te  donne envie de tous les acheter

Et puis …revenons à nos dragons. Apparemment, il est souvent question  de beaux livres sur les dragons dans nos commentaires ….Je pense à ceux(ci parce que je les connais bien (mais je ne les possède pas):

Je finis avec celui-ci (ci-dessus) qui est à ma fille et celui-ci (ci-dessous): entre autres

Sans dragons, j’ai chez moi:

 

Très magiquement:

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Voilà le John Howe (à droite) et  un « Dessine les vampires » (à gche):

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Côté vampire, Victoria Francès est aussi chez moi:

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Et,  clin d’oeil, j’ai également ceci :

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Quelques beaux livre sur l’architecture, le design , la peinture, la calligraphie, la littérature, la fantasy, les animaux, la BD, j’en oublie….