Julio Málaga Grenet, caricaturiste péruvien( 1886 – 1963 )
Il voyage aussi en Europe et travaille comme illustrateur pour les magazines parisiens Le Rire et Fantasio.
Julio Málaga Grenet, caricaturiste péruvien( 1886 – 1963 )
Il voyage aussi en Europe et travaille comme illustrateur pour les magazines parisiens Le Rire et Fantasio.
Bruno Liljefors, (1860 – 1939) est un artiste suédois. Il est surtout connu pour ses œuvres représentant la nature et les animaux. Son style se caractérise par un coup de pinceau à la manière impressionniste.
Premières lignes ou plus exactement « premières cases » pour changer un peu.
Et oui, il s’agit du tome 8 de L’Atelier des sorciers. En fait, j’ai rattrapé mon retard (inexplicable) et j’ai lu d’affilée les 7, 8 et 9 (avec une relecture en diagonale du 6 parce que, le temps passant, j’avais oublié un peu certains détails).
Résumé « Après avoir réussi leur examen à l’Académie, Coco et les autres apprenties sorcières sont de retour à l’Atelier. C’est alors qu’arrive Tarta, qui propose à Coco et à ses amies de l’aider à tenir un stand lors du grand festival annuel des sorciers, la Fête de la Nuit d’argent. Excitées comme des puces à l’idée de prendre part à ces festivités, les petites sorcières entament les préparatifs. Alors que Coco accompagne Tarta voir son grand-père à l’hôpital, elle recroise le chemin de Kustas, le petit garçon qui s’était blessé lors de l’incident près de la rivière… »
Kamome Shirahama prend tout son temps, dorénavant. Et, si dans le tome précédent nous avions eu des révélations sur le passé de Kieffrey et son amitié avec Olugio (les deux maîtres sorciers de l’atelier), cette fois c’est une nouvelle orientation qui est pris. Nous retrouvons Tarta, plus heureux et épanoui depuis qu’il s’est autorisé à devenir un sorcier mais aussi le jeune Kustas, qui s’était blessé lors de l’incident près de la rivière.
La mangaka s’attarde sur les origines de Kustas, son père adoptif, Dagda. Elle en profite pour aborder l’inégalité sociale, pour évoquer aussi la médecine (avec un parallèle avec la magie puisque les deux ont le but d’améliorer les choses. La question du handicap, via celui de Kustas, est présente.
En fait, j’ai quand même eu l’impression qu’on s’éloignait un peu de l’intrigue principale — Kamome Shirahama nous emmène effectivement sur des chemins tortueux et de traverse depuis quelques tomes — avec un peu moins d’intérêt dans ce huitième. J’ai un peu la crainte que la série ne s’allonge à cause de ces détails sans cesse rajoutés même si, d’un autre côté, j’aime beaucoup découvrir toutes les facettes de ce monde, de la magie et les nouveaux personnages.
Disons que ce tome 8 n’est peut-être pas le plus passionnant mais qu’il sème des éléments importants pour la suite (beaucoup de mystères ici et là)
Que dire d’autre sinon que sur le plan visuel, le résultat est toujours aussi somptueux ? C’est un dessin que j’aime particulièrement. Et les éditions collector sont magnifiques, je confirme.
L’atelier des sorciers est une réussite ; vivement la suite !
Graham Gercken est un artiste basé en Australie dont les peintures ont été exposées à l’échelle nationale. Créant à partir de photographies de référence et en plein air, il cite la période de l’année ou le lieu dans lequel il se trouve comme dictant les thèmes et les messages de ses œuvres. Pour Gercken, les Blue Mountains, classées au patrimoine mondial, où il vit, ainsi que les côtes et le port de Sydney sont une source d’inspiration.
Karel Franta est un illustrateur tchèque (1928-2017). Karel Franta s’est orienté notamment vers les illustrations pour enfants. Dans les années 1960 et 1970, il a travaillé comme rédacteur artistique des magazines pour enfants Sluníčko, Ohníček et Pionýr. L’artiste a illustré plus de cent livres et a aussi travaillé sur différents films.
Gaston Maréchaux (1872 -vers1936) est un artiste français, illustrateur, surtout de livres pour enfants (mais pas seulement).
Mais ça y est ! Nous arrivons à la fin de cette année 2022 !
Je consultais mes articles de « fin d’année » et pour 2021, je n’ai pas fait grand chose, les derniers jours (le dernier mois) ayant été assez perturbés par la santé de Loki (les urgences vétérinaires, le pauvre). Cette année, Loki va mieux et surtout, il a un traitement quand ses soucis gastriques lui jouent des tours.
J’en profite pour faire un tour d’horizon vite fait de cette année 2022.
C’est parti !
Un début 2022 ensoleillé, on pensait aborder une année (enfin) tranquille, avec moins de Covid…
L’espoir fait vivre… Bien entendu, ça ne s’est pas passé comme ça. Déjà, en France, nous savions que nous allions avoir une année « spéciale » puisque 2022 correspondait à celle des élections présidentielles. Ne parlons pas des sujets qui fâchent mais la campagne a volé au ras des pâquerettes (et même plus bas encore). Tiens, on m’aurait demandé début 2022 quel personnage je ne voulais plus revoir en 2023, j’aurais dit « Zemmour » (mais je l’avais déjà cité). Puis l’attaque de la Russie sur l’Ukraine a eu lieu en février et Poutine est remonté très haut dans ma liste puisqu’il y figure depuis pas mal d’années. Seulement, l’année n’étant pas terminée et les tyrans/dictateurs ne sont, hélas, pas les seuls à rendre la vie insupportable : d’autres crétins soutenus par d’autres crétins plus riches et plus influents y arrivent très bien (Hanouna sévissant sur la chaîne qu’on ne nommera pas, dans l’émission qu’on ne citera pas non plus). Fin de la partie désagréable.
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Passons aux bonnes choses, bonnes surprises et tout cela.
Alors, j’ai peint. Je n’ai même pas les photos de toutes mes peintures car il y en a pas mal (aquarelles, acryliques).
Des marque-pages – j’en ai fait un certain nombre, de différents styles
Cette année, en général, j’ai beaucoup créé visuellement. J’ai fait des vidéos (parfois assez idiotes, j’avoue ) :
Et, cerise sur le gâteau, en septembre, j’ai testé l’intelligence artificielle avec Midjourney et Stable diffusion, ce qui a, à nouveau, donné des ailes à ma créativité.
Je ne vais pas détailler ici car j’ai déjà parlé de MJ , SD ou Dall-e.
Par contre, je vais dire une fois pour toutes mon ras le bol de la fausse polémique amplifiée par les réseaux sociaux qui dit en gros ceci : « non, ce n’est pas de l’art, c’est du vol, blablabla, on va perdre nos jobs, et puis, c’est facile à faire« .( avec un panneau : non à l’IA/ no to AI). Je suis affligée de voir certaines personnes suivre ce « mouvement » inepte , parfois avec des commentaires agressifs (j’en ai eu quelques uns, vite effacés). J’imagine que ces gens agissent sans doute par peur mais surtout par totale ignorance du fonctionnement de l’intelligence artificielle (qui n’est pas une découverte nouvelle, pourtant). Une fois encore, je me demande ce qui les empêche de se renseigner plutôt que de hurler. En tout cas, c’est un très bon outil pour booster la créativité. Heureusement, de nombreux artistes trouvent également que c’est le cas 🙂
De fil en aiguille, j’ai donc travaillé sur la couverture du roman de ma maman, qui est sorti en auto édition en décembre. Et aussi sur les visuels (et oui, on peut faire parler des personnages en IA)
Sinon, j’ai passé deux très bons moments cette année, avec deux concerts : l’un à Paris à l’Olympia pour la dernière tournée de Midnight Oil. Le concert a encore été meilleur que celui de 2019
Le deuxième a eu lieu à Nantes. The Cure était là en novembre. Juste avant que j’attrape le Covid (ou alors je l’ai chopé au concert mais je ne le saurais jamais).
Que dire d’autre ? J’ai vu peu de films au cinéma mais je garde un très bon souvenir d’Elvis. Je viens d’aller voir le second Avatar, la voie de l’eau et, même si j’aime beaucoup l’univers, toujours très beau, j’ai été assez déçue tant le scénario est mince (mais où est l’histoire ?). Il y aurait tant à faire avec ces personnages, cette planète et les thèmes … Au final, on a une partie « documentaire sur les océans de Pandora » (très joli mais…) et le reste en clichés sans saveur + la partie finale en film catastrophe hyper violent. On n’est pas loin du navet, malheureusement.
J’ai beaucoup lu, de très bonnes choses, d’autres…hum…moins intéressantes. J’ai bouclé le challenge de l’Imaginaire, pas exactement comme je le pensais, surtout parce que j’ai moins lu d’ouvrages de fantasy/SF en fin d’année (un peu fatiguée de tomber sur des niaiseries ou des romans mal ficelés). Bien sûr, je rempile pour le challenge en 2023 !
Côté séries, j’ai regardé du bon comme du moins bon. En ce moment, nous nous régalons avec Mrs.Maisel.
Et pour finir sur une note agréable parmi la morosité ou les soucis divers, la surprise de l’année n’a pas été un livre, ni un film mais l’arrivée d’un chat en plus. Ce n’était pas prévu mais Newton est avec nous depuis le mois d’août.
D’ailleurs, les facéties de Loki, Newt et Galice m’ont donné envie d’écrire une histoire de détective mais avec des chats anthropomorphes. J’ai commencé ça cette semaine.
Voilà, bonne fin d’année et à 2023 !