Ho Ho Ho !

Cette année, j’ai joué plusieurs fois  à la Mère Noël (avant l’heure). Incroyable.
J’ai donc distribué un premier lot hier pour mon concours et je vais envoyer l’autre par la Poste. Youpi, lot remis en mains propres. Car, malgré les ennuis que nous causent le dernier variant, la vie sociale reste encore un minimum possible. Je ne sors pas énormément non plus mais je suis triplement vaccinée depuis le début décembre donc j’ai pu voir quelques personnes et j’ai un peu moins l’impression de vivre en ermite.

Il reste que j’ai bossé pas mal sur mes peintures cette année, ce qui m’a permis aussi de faire quelques envois pour les fêtes de fin d’année. La Mère Noël, toujours.
Je ne peux pas dire que je déborde de confiance en moi, ça serait nouveau… J’espère arriver peu à peu à me sentir un peu plus « sûre » de moi (i.e moins négative ou moins anxieuse) vis à vis de ce que je crée au fil du temps. Difficile de se changer soi-même en claquant des doigts. Mais je ne désespère pas !
Sinon, sur Wattpad, j’ai eu un peu de temps pour dépoussiérer 3 mini contes situés dans l’univers de Harry Potter pour la fin d’année :

Déjà, en 2017 et 2018, j’avais écrit deux contes fan fics autour de Noël : L’apprenti gourmet  et Annulez les fêtes de Noël!


J’ai envie de dire que c’est un peu la récré — ou l’expérimentation, c’est selon — pour moi, la fan fic ; ça me permet de réfléchir, de souffler avant de me replonger dans ce que j’écris, dans mes propres univers. Et de ce côté-là, ça avance.
Mais ce n’est pas sur Wattpad, à part une nouvelle que j’ai corrigée et finalement mise en ligne : Quand les chats ne miaulaient pas. On apprend ainsi comment les chats ont finalement appris à miauler. Avec un corbeau, une magicienne, des tas d’animaux qui parlent et de la magie aussi.

Voilà une fin d’année bien occupée. J’ai encore plusieurs chroniques de livres à écrire qui sont entassées. Et d’ici là, je pense que 2022 pointera son nez !

Passez de bonnes fêtes ! Bonnes lectures aussi ! Prenez soin de vous.
A.

Arts d’hiver – 12

Allez, je vais parler d’illustrations Harry Potter !

Ce sont de nouvelles couvertures pour l’édition en thaï  à l’occasion des 20 ans de publication en Thaïlande. Et elles sont magnifiques …

Ash-Aruchsuan ou Apolar (deviant art) est un artiste thaïlandais (interview ici – on peut activer la traduction en français). 

Pré-commande Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, Volume 3 (rendu le 11 mai 63).

 

Harry précommande Potter et la Coupe de Feu, volume 4 (rendu le 11 mai 63).

 

 

 

Quelques impressions de Londres

Comme je le disais ici, et comme vous le savez si vous me suivez aussi sur mon blog photos, j’ai pu faire une pause londonienne de quelques jours qui a été pour moi une vraie re-découverte de la ville. Je dois dire que je n’étais pas retournée dans la capitale anglaise depuis à peu près 30 ans (ouille, ça pique !). Ma dernière incursion dans une grande capitale européenne, Paris non comprise, était à Berlin en mai 2017.

Gatwick

Si la ville a changé par endroits, j’ai eu peu de mal à reconnaître certains quartiers qui restent fidèles à eux-mêmes.
Et, surtout,  Londres est devenue LA ville de Harry Potter !

Sinon, il y a toujours autant de monde dans les lieux les plus touristiques. Pire, même. Week-end de Pâques oblige, vacances aussi, et beau temps, tout cela a contribué à concentrer un maximum de touristes.

Picadilly circus

Une autre chose ne change pas: on entend plus parler français à Londres qu’à Paris en été. Amusant…

JB, mon compagnon, dit Mr. Chours et Alyzé, ma fille :

Arrivée
Pour résumer : nous (ma petite famille et moi) avons eu chaud, voire même très chaud dans le métro, nous avons beaucoup marché et nous avons ramené … des livres ! Et quelques goodies Harry Potter, évidemment.

Monsieur Chours avec un Harry Potter à la librairie Waterstones

Harry Potter

Ma fille tient un Botruc:

Harry Potter

 

Ce choix de livres à la grande librairie Waterstones de Picadilly !

Bookshop

 

Tolkien

C'est un rêve, cette librairie

 

Waterstones

 

Bien sûr, nous sommes allés à King’s cross, voir le fameux Quai 9 3/4. Il y avait une file d’attente immense pour prendre LA photo avec le chariot à bagages qui s’encastre dans le mur. Nous nous sommes contentés d’aller à la boutique où nous avons fait quelques folies (les babioles HP coûtent cher). Et, non, nous ne sommes pas allés aux Studios : plus de places, même à l’avance, en cette période de l’année. Ce sera pour une prochaine fois….

King 's cross

King 's cross

King 's cross

Beaucoup de monde pour entrer

A l'intérieur de la boutique

Les cages pour les hiboux et les chouettes au plafond

Harry Potter

A Gattwick aussi, il y a une boutique Harry Potter :

Harry Potter shop

 

Harry Potter shop

Et puis, nous avons aussi vu une partie de ma « famille » qui habite à Londres. Un super moment sous un ciel très bleu:

Highgate le village

Je n’ai pas de photos pour illustrer ce qui suit :  nous avons logé dans un hôtel du côté de Paddington qui avait cette particularité : tous les meubles étaient montés sur roulettes, même les lits ! Et le plus fort, c’est que la chambre n’avait pas le sol droit; un peu périlleux, quand même.

Bref, un excellent séjour qui nous a permis à tous les trois de faire un break – et qui donne sérieusement envie de refaire le voyage !

London

Retour de pause londonienne

Comme vous avez pu le voir, je n’ai pas publié de Premières lignes cette semaine, par manque de temps et surtout, parce que je reviens de Londres où ma petite famille et moi avons passé quelques jours.

 

J’en ai rapporté beaucoup de photos que je mettrai bientôt en ligne sur mon autre blog LeyArts, et aussi, des livres !

La folie Game of Thrones est aussi à Londres

Nous avons fait une halte dans une grande librairie londonienne, Waterstones,  un paradis pour lecteurs, l’une des plus grandes librairies en Europe. 

Je suis revenue avec le roman de Madeline Miller, Circé
(« An amazing book ! «  d’après le libraire qui nous a félicités de nos choix ^^)

J’en parlerais ici dès que j’aurais fini la lecture, bien sûr.
Côté lectures, je termine pour l’instant La maison de poupée, un thriller  qui fait suite à Am Stram Gram et Il court, il court le furet :

 

J’ai aussi presque fini Tous les oiseaux du ciel, presque un coup de coeur mais j’en reparle rapidement:

Je vous dis donc à très bientôt sur le blog, pour parler livres et sur mon autre blog, pour visiter Londres en photos.

 

Note : j’ai mis à jour, avant de partir pour Londres, mes histoires sur Wattpad  et je suis ravie de voir que certaines attirent toujours plus de lecteurs.

L’automne en images et en musique – 1

Après ma série de « L’été de l’art » (30 articles, 2 saisons), j’ai pensé que continuer notre exploration du monde de l’illustration (et, bonus, avec découvertes et coups de coeur musicaux !) serait une belle aventure.

 

 L’artiste est italienne et s’appelle Rosalia Radosti . On peut trouver ses fan art sur Deviant Art.
Son style est vraiment sympa.

Sans rapport avec Harry Potter :

Sur FB

Relire : Harry Potter

 

Cette semaine, je continue ma re-relecture (x10, au moins) de  Harry Potter.

Cette fois, je me suis replongée dans l’un des tomes de Harry Potter les plus mal adaptés au cinéma (peut-être le plus mal adapté), « La coupe de Feu »:

Chapter 1—The Riddle House

Summary

In the small village of Little Hangleton, there’s a manor home that the locals call the Riddle House, even though no one by the name of Riddle lives there anymore. Fifty years previous, the entire Riddle family—mother, father, and adult son—died, the cause presumed to be murder. The fingers pointed to their gardener, Frank Bryce, a World War II veteran. He was taken in and questioned by the police, insisting all the while that he was innocent, and that a young boy had been hanging around the manor. Later, the charges were dropped, as the autopsies on the family indicated that they all seemed to have somehow died of fright.

 

 

Après un horrible été chez les Dursley, Harry Potter entre en quatrième année au collège de Poudlard. A quatorze ans , il voudrait simplement être un jeune sorcier comme les autres, retrouver ses amis Ron et Hermione, assister avec eux à la Coupe du Monde de Quidditch, apprendre de nouveaux sortilèges et essayer des potions inconnues. Une grande nouvelle l’attend cependant à son arrivée: la tenue à Poudlard d’un tournoi de magie entre les plus célèbres écoles de sorcellerie. Déjà les spectaculaires délégations étrangères font leur entrée… Harry se réjouit. Trop vite. Il va se trouver plongé au cœur des èvènements les plus dramatiques qu’il ait jamais eu à affronter.

« La Coupe de feu » s’ouvre sur un point de vue différent de celui d’Harry de la même façon que le faisait « L’école des sorciers ».

Cette fois, nous sommes en présence directe, sans le savoir au début, de Voldemort en pleine phase « plan pour retrouver son corps ». De même, c’est la première fois que nous remontons dans l’histoire du Mage Noir: les Riddle (Jedusor en VF) sont forcément reliés à Tom Riddle (Tom Jedusor). Le lien avec « La Chambre des secrets » est ainsi fait.
Cette construction narrative en forme de puzzle ou du moins, d’indices semés tout au long de la série fait la force de Rowling qui saura nous mener jusqu’à ses révélations finales.

Rien n’est jamais livré ni explicité directement mais se tisse au fil des livres.

Notre Harry âgé à présent de 14 ans, et doté d’un parrain, en fuite, certes, mais présent pour lui via le courrier va se retrouver une fois de plus impliqué dans une manipulation à grande échelle.
Nous ne verrons que par ses yeux, que via son point de vue, souvent faussé, comme toujours. Ainsi, au sujet de Snape (Rogue), le lecteur va continuer à suspecter le pire au vu du comportement vis à vis d’Harry du professeur de Potions. ce sera une suspicion grandissante qui se mettra en oeuvre car les autres avis donnés sur Snape seront ceux de Ron (qui, décidément, ne le supporte pas) ou de Sirius (qui ne le porte pas dans son coeur). Seule Hermione tentera de contrebalancer ces préjugés; autant dire qu’elle ne convainc pas grand monde, lectorat inclus.

La Coupe de Feu voit aussi le moment où tout bascule pour Harry: celui qui a survécu, le chouchou du Ministre de la Magie , se voit conspué, dénigré, rejeté au fil du roman.

Côté magie, on en apprend un peu plus sur le monde de Harry Potter avec la participation des écoles de Durmstrang et de Beaux-Bâtons. L’univers magique se constitue peu à peu même si Rowling ne donnera plus de précisions que bien des années plus tard sur Pottermore.

Le roman est dense. La tension amorcée avec « Le prisonnier d’Azakaban« , le premier des Harry  plus adultes, est maintenue et amplifiée jusqu’au dénouement dramatique.

C’est un tome capital, le basculement dans la lutte, qui préfigure de façon magistrale « L’Ordre du Phénix ». 

 

 

 

T’as pas vu ma pop (le retour): it takes two to tango

 

La dernière fois dans « T’as pas vu ma pop », je vous ai embarqués dans le grand vaisseau Star Wars, pour décortiquer le rythme de la narration.  3 trilogies de 3 épisodes chacune, chaque épisode étant construit en 3 actes, sont construites selon le modèle du Voyage du Héros.

Pourtant, Star Wars aurait sûrement une  dynamique moindre  si le cycle n’utilisait pas c tant de duos, de tandems, de couples, ou même de jumeaux. En effet, les personnages ne sont jamais seuls, chez Lucas (ex: Han Solo/Chewie; Luke/Obiwan; R2D2/C3PO; Anakin/Padmé….)
Voici un petit aperçu de ces binômes qui contribuent à l’évolution de la « saga » (je suis assez réticente à employer ce terme qui est, à la base, tout à fait impropre). 

 

 Han/ Chewbacca

Si Han est le prototype de l’aventurier solitaire (il ne s’appelle pas Solo pour rien), on voit qu’il est constamment en interaction avec d’autres personnages, dont son plus fidèle allié: Chewbacca.
Chewbacca, le Wookie, qui s’exprime de façon grognante vient de la planète Kashyyyk (c’est ce qu’on apprend dans la prélogie). Créature velue, Chewie est un peu une sorte de chimère constituée d’éléments disparates: lion, loup, singe, ours,..

Chewie remplit une fonction importante en apparaissant aux côtés d’un humain. Symbole de l’animalité cachée dans l’Homme, il met en exergue une facette de sa personnalité. Ainsi, si Han Solo est bourru comme un ours, Chewbacca ressemble à un ours. C’est un peu le double de Solo, sa part animale incarnée dans un personnage; la Bête dans le Beau (gosse), l’homme-ours à la Béorn (Tolkien) ou une autre sorte de loup-garou (la bête sauvage enfermée dans le corps de Remus Lupin dans « Harry Potter »).
Parfois comique, souvent tendre, Chewbacca apporte au duo Solo/Chewie une touche de profonde humanité sous la fourrure. Il démontre ainsi beaucoup de tendresse et de fragilité à travers ses grognements, préfigurant les Ewoks d’une certaine façon. Un autre personnage remplit cette fonction dans un autre cycle et a souvent été comparé à Chewie: Hodor dans Game of Thrones, doux géant protecteur ne sachant que s’exprimer via le  mot mystérieux « Hodor ». (on en apprendra sa signification au cours de la série).

Issue de l'univers étendu, cette vidéo propose une version
 de  la rencontre Solo/Chewie:

 

Le duo comique

Une autre variante du  thème du binôme reprend des codes bien connus: le duo comique.
Les deux droïdes occupent une place prépondérante dans le cycle Star Wars – une place tellement forte que la prélogie les a utilisés et la dernière trilogie leur fait reprendre du service; assez anecdotiquement, il est vrai.
R2D2 et C3PO forment un duo classique des films américains burlesques, tels que Laurel & Hardy et aussi Abbott & Costello:

Quand R2 se rapproche plus d’une sorte d’animal domestique à la Rintintin, Cheetah voire Flipper le dauphin, C3PO endosse le rôle de la caricature du serviteur,  comparse passif, un peu ridicule, bref, un rôle de bouffon et de Fou – ou l’illustration de faiblesses bien humaines.
C3PO est le contraire d’un personnage raté, le JarJarBinks de la prélogie, qui ressemble à s’y méprendre au « bon sauvage neuneu », au « gentil indigène » nous renvoyant à une imagerie digne de Tintin au Congoavec toute la gêne qu’elle nous procure à notre époque. 
Voilà l’une des raisons pour lesquelles le duo de droïdes nous fait rire alors que JarJarBinks nous horripile – sans compter le fait qu’il est beaucoup trop enfantin, voire infantile.  Les pitreries des droïdes font sens, pas celles de JarJar.

Les jumeaux

Une autre déclinaison d’un duo est le thème de la gémellité.
Leia et Luke, on l’apprend à la fin du Retour du Jedi sont frères et soeurs, mieux: ils sont jumeaux.
Même si le spectateur se doute d’un lien familial depuis le fameux « Je suis ton père « et la communication via la Force entre Luke et Leai à la fin de l’Empire contre-attaque, il est rassuré à la clotûre la trilogie originale. Leia peut aimer Han (et Luke….heu…R2D2?). Happy ending.
Quant aux Skywalker, ils assument leur hérédité quasi divine, leur descendance d’une lignée prestigieuse.

Car les jumeaux font partie d’un vaste thème remontant aux plus anciennes mythologies: Isis et Osiris, par exemple. Et nous sommes bien ici dans une filiation divine – doublée d’une relation incestueuse frère/soeur, un filon souvent exploité dans la narration.
Leia embrasse Luke. Elle ne sait pas qu’il est son frère. Mais elle déclare à la fin du cycle qu’elle s’en était toujours doutée.

D’autres jumeaux incestueux – et non divins, ceux-là, sont venus agrandir le cercle ces dernières années dans l’imaginaire du spectateur.  Je veux parler de Cersei et Jaime Lannister dans Game of Thrones.

C'est cette scène du jeune Bran surprenant

 l'inceste qui est le facteur déclencheur:

Décrits comme grand, blonds, beaux, ayant les mêmes yeux verts, Cersei et Jamie sont des faux-jumeaux très semblables. Ce n’est pas le cas pour Leia et Luke, la prélogie nous faisant comprendre que Leia ressemble à sa mère, Padmé, et Luke, à son père, Anakin, le futur Vader.

Leia dit qu'elle se rappelle de sa vraie mère:

Autres jumeaux légendaires, Remus et Romulus: comme eux, Leia et Luke sont abandonnés et confiés à une famille d’adoption, – qui n’est pas une louve. Ils ne connaîtront leur véritable identité qu’à l’adolescence et ils sont d’essence divine.

Enfin, la SF n’est pas en reste avec les jumeaux de Dune de Frank Herbert. C’est dans le Messie de Dune (le 2nd livre de la série) que le héros, Paul Atréides, ayant vaincu ses ennemis et règnant comme  l’empereur  Muad’Dib, devient  père de deux jumeaux Leto et Ghamina. Les deux enfants, en particulier Leto, connaîtront un destin plus grand que celui de Paul.

Luke et Leia semblent être deux faces d’un même être, comme l’ animus et l’ anima. Ils se construisent et parviennent à l’âge adulte parce qu’ils auront rencontré une tierce personne jouant le rôle de grand frère pour Luke et d’objet du désir, puis de compagnon, pour Leia: Han Solo.

Enfin, en ce qui concerne les binômes, nous verrons la prochaine fois ce qu’il en est au sein de l’Ordre Jedi. Je vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour un autre volet.

Joyeux anniversaire, Harry Potter!

Il y a 20 ans sortait le 1er tome. « Harry Potter à l’école des sorciers », pour nous en France.

Il y a 20 ans…
Je me souviens bien de ce que je faisais alors (travail, vie perso, lieu d’habitation). Je me souviens aussi de la première fois où une amie m’a parlé de Harry Potter – et du fait que c’était aussi une lecture pour adultes. Je ne suis pas devenue fan avec le premier tome. Il m’a fallu attendre le 3 ème pour tomber dans la marmite.

Il n’y a qu’à voir le nombre d’images, d’articles que je partage au sujet de Harry!

Les illustrations 

Les Animaux fantastiques

Etre fan

Un tag spécial

Le conte des 3 frères

Poufsouffle

La pièce

Les photos des studios HP à Londres : 1

suite 2

Et suite 3

Des tableaux pinterest 1 et 2

Une fois encore, bon anniversaire!

Mes beaux livres

 

Suite à ceci – le très bel article d’Isa, sorcière des livres – j’ai fini par sortir quelques livres de ma/mes bibliothèques.

J’en ai quelques uns – pour certains, ils datent même de ma période « libraire » ; pour d’autres, ce sont des cadeaux.

Les beaux livres ont ceci de magique qu’ils paraissent surgir (massivement) chaque année aux alentours du mois de novembre.

En vérité, c’est souvent un enfer pour le libraire: – je m’explique:
– ils sont lourds (et, au cas où personne ne l’aurait noté, c’est  très souvent le/la libraire qui se charge des cartons – et non une tierce personne dans le genre costaud, musclé, etc..)
– ils sont chers (et tu as envie de commettre un meurtre si tu surprends un client en train de bouffer son sandwich en les ouvrant! pire: quand tu constates que le charmant client avec sa mallette est simplement en train de te piquer un tas de beaux livres et qu’il  a arraché un morceau de la couverture « parce que c’est comme ça que ça sonne…., non? l’antivol- avouera-t’il  » – non …)
– ils sont chiants pour les paquets-cadeaux (et vu qu’ils se vendent au moment des fêtes de fin d’année, amuse-toi ..)

Mais:  –  ils sont superbes  (tous les ans, c’est un ravissement) – ça te  donne envie de tous les acheter

Et puis …revenons à nos dragons. Apparemment, il est souvent question  de beaux livres sur les dragons dans nos commentaires ….Je pense à ceux(ci parce que je les connais bien (mais je ne les possède pas):

Je finis avec celui-ci (ci-dessus) qui est à ma fille et celui-ci (ci-dessous): entre autres

Sans dragons, j’ai chez moi:

 

Très magiquement:

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Voilà le John Howe (à droite) et  un « Dessine les vampires » (à gche):

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Côté vampire, Victoria Francès est aussi chez moi:

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Et,  clin d’oeil, j’ai également ceci :

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Quelques beaux livre sur l’architecture, le design , la peinture, la calligraphie, la littérature, la fantasy, les animaux, la BD, j’en oublie….

 

Harry Potter: Poufsouffle

 

Contrairement à ce que beaucoup pensent, c’est vraiment cool d’être à Poufsouffle!

« Hufflepuffs are known to be loyal, true, and hard-working, with other famous members including founder Helga Hufflepuff, Cedric Diggory, and Nymphadora Tonks. The author recently revealed Tonks’ son with Remus Lupin, Teddy Lupin, had followed in his mother’s footsteps and was sorted into Hufflepuff, eventually becoming Head Boy. »

It’s Now Hip To Be In Hufflepuff, Says J.K. Rowling