Iwami Reika 岩見禮花 いわみれいか (1927-2020) est une pionnière de la gravure de style Sōsaku-hanga.







Iwami Reika 岩見禮花 いわみれいか (1927-2020) est une pionnière de la gravure de style Sōsaku-hanga.
Je n’ai pas pu résister à l’envie de vous partager les oeuvres qui suivent !
Kazuo Horitomo est un artiste japonais qui vit en Californie. Ses deux passions ? les chats (et dessiner les…) et le tatouage !
Les illustrations qui suivent ont été souvent partagées sur les réseaux sociaux ces derniers jours, sortie d’Avengers Endgame oblige.
L’auteur, Takumi, est un illustrateur japonais qui avait déjà créé il y a quelques années une version illustrée d’un hypothétique parc Ghibli (un véritable parc à thème est annoncé pour 2022).
Cette fois, ce sont les Vengeurs qui sont adaptés en une version ukiyo-e (une technique des estampes).
Le travail de Takumi est aussi visible sur FB
D’autres illustrations :
Direction le Japon cette semaine avec l’artiste Miki Katoh
Née en 1965, Miki Katoh est une artiste japonaise qui a fait du kimono, vêtement traditionnel si fantasmé, son sujet d’étude.
Depuis plus de 10 ans, elle réalise des portraits de femmes modernes habillées à la japonaise. Ses illustrations, connues et appréciées dans le monde entier, dépeignent des personnages très contemporains sur des décors parfois traditionnels, le tout dans une harmonie parfaite de couleurs tantôt pastel, tantôt explosives.
Parce que l’été se termine bientôt, voici le dernier article de la série L’été de l’art 2018. Pour rappel, j’avais commencé cette série l’année dernière et vous pouvez retrouver tous les articles sur le blog .
Je finis donc cette saison avec une petite loutre qui voyage. Mr.Otter est une création de Simon Lee, un artiste chinois qui a fait ses illustrations dans le style de l’ukiyo-e, les estampes japonaises gravées sur le bois (Hiroshige, Hokusai…)
NaNo ? C’est ce mois où il s’agit d’écrire 50 000 mots d’un roman.
Nous sommes de nombreux nanoteurs en France, à présent. Même si le principe a des inconvénients (la tendance à bâcler l’écriture pour faire son quota quotidien).
» Haruyo Morita (森田春代), est née en 1945 dans la préfecture de Saitama. Talentueuse dès son plus jeune âge, elle fut dans un premier temps peintre de kimono et designer avant de tourner son regard vers la création de « représentations contemporaines de l’ukiyo-e traditionnel.
Mme Morita réside actuellement en Nouvelle-Galles du Sud, en Australie, et ne tient que de rares expositions dans son pays d’origine.
Un seul regard suffit pour déceler l’influence que son passé de peintre de kimono a eu sur son art. Ses peintures, pleines de lignes délicates et de couleurs vives, reflètent le design des kimonos sophistiqués teints à la main en yûzen. Ses représentations ornementées de femmes et de fleurs (un motif de kimono courant) sont tout simplement à couper le souffle. »
C’est la Bibliothèque du Congrès américain qui a récemment mis en ligne 2500 estampes japonaises du XVII au XXe siècle. Un petit florilège:
Okazaki
Andō, Hiroshige, 1797-1858